Alzire n'a vécu que. tr@p .infor.túnée, •
,1
7·;
Et par mes crnaú.tés, e.t
Jp-aT
mo.n
hyménéi .;
Quema
rr1.1J
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urante :main la remette·en tes hras
~
Vi
vez sans
rne
hafr., gouv€rhez vos
Épa.ts.,
Et de y'Ós
llll
!l.rsdétr4its 1Jftah1is·sa-nt la ,gloine ,- ,
De' mon nom, s?il s·e,pe-ut , béníssé~Ja
méritói,re,
(
A A~va1:ez·.)
Daignez se'~vif de pere
a
~es_ époú.~ heurenx;
Que du ciel, parvo;; soins, le jo'ó
1
r luis'e sur euxt
Aux clartés des chrétiens si
1
son .áÍne est ouvertc,
Zam~re
·;-h
votre rils, et ré'p-ire·iña p~rte ~
.·
.
')
ZAMOllE .
•
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Je dcmeure iimnoh~\~, ég<!r1 , con(ondu; '
,
Quoi done, les v,rais chréti<ms,
auraie.nttant
.de
vertu
!
Ah!
la loi qui ·CobJ-ige
t GM
9;J[Q~
1t.s
,up.re¡.µ~, · , ....
Je-commence
it
le crnite, est ,la Jo¡ ~~n.Pi_eii.m~m.e..
J 'ai connu l'amitie
~Jé!-
qonstance ,. la.
foj,;· · . · ,'.'
Niais tarii de.grand~wr dJar,ne_e-st a:u-4essrus de moi:
Tant de vertu m'accable, et son char~~ Jn'attire.
Honteu:x d'etre v. ~ngé, jc-t'·aime et
j~
t'adnúre.
(Il~e je-tte
a
ses pieds.~
A;LZIRE.
r
~
.t •·
Seigneur, en rougissa1Ú.;rje, t.or.nbe
a
vos genoux:
.
)
Alzire, en ce _r.noment, ~~·u<lraiJ; m'ourir p0ur vous_.
Entre Zamore et vous mon ilffie déchirée
,
· Succombe au repentir dont elle est dévorée.
Je me sens trop coupab,le_,
e:
mes tristes errem's..•
GUS~AN,
Tout vous est pardonné, p.uis.que je vois vos pleurs.
Pou~ la dernie-re fois, appr@chez-vous, 1non p~i:~;