ACTE V,
SCENE
VL
E UP
H
É
MON
íils.
Le repentir:, l'amour et la nature.
l,Is;E,
$e metta~ aussí
·a
_genoux.
Avos genoux Yous voyez vos enfants;
Oui, nous avons les memes sentiments,
Le,meme cceur...
E U P
H
É
M ON
fils, en montrant Lise.
Hélas ! son 'indulgence
De mes fureurs a pardonné1 l'offense;
Suivez, suivez, pour cet info.rtuné,
L'exemple heureux que l'amour a donné.
Je n'espérais, dans ma douleur mortelle,
Que d'expirer aimé de vous et d'elle;
Et si je vis, ah! c'est pour mériter
Ces sentiments dont
j'
ose ~e flatter.
D'un malheureux vous détournez la vue
!
De quels transports votre ame est-elle émue?
Est-ce la haine
?
Et ce fils condamné ....
,
1
E U PH
É
MON
pere, se lev.ant ·et l'embrassant.
C'est la tendresse; et tout,est pardonné,
Si la vertu regne enfin dans ton ame :
Je suis'ton pere.
LISE.
Et fose etre sa femme.
J'étais
a
lui : permettez qu'a vos pieds
Nos premiers nceuds soient enfin renoués.
Non, ce n'est pas votre bien qu'il demande;
D'un cceur plus pur il vous porte l'offrande,
ll ne veut rien; et s'il est vertueux ,
Tout <;e que j'ai suffira pour nous deux.