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.ACTE V,

?C~NE

Vl'I.

FIEREN FAlf.

Oh , oh! je joue un fort singulier róle :

Tudíeu, quel frere !

EUPHEl\'fON

pere:

Oui, je l'ava.~s perdu;

Le repentir, le ciel me l'a rendu.

.

MADA)VIE

CROUPILLAC.

Bien

a

propos pour moi ,

FIERENFAT.

La ·vil~ine

anié

!

n

ne revient que pour m'óter ma femme.

E

u

PU ÉJ.VIO N

füs,

a

Fierenfat.

Il faut enfin que vous me c0nnaissiez;

C'est vous ; ni.onsieur, qui me la ravissiez.

Dans d'auires tem.p_:S j'avais_eu sa te_ndressé

L'emportement d'une foHe jeunesse

}\i'óta ce bien dont

?n

d0it etre é,pris,

Et

dont j'avais trop _mal connu le prix :

J'ai retr~uvé, dans ce jou~ salutafre ,

Ma probité, ma maitre?se, i?on pere.

M'envierez-vous l1i'1iop1rié retour

Des droits du sang, et des

J~

..

dits de i'amour?

Gardei mes biens, je vous les abandoní1e :

Vous les aimez.. . moi j'airi1e sa personne

~

Chacun de Miis au~·a son viai bonheur,

Vous dans mes biens, moi ,' monsi,eur, dans son ccetír.

E UPH ÉJVIO N

pere.

Non, ta bonté si &Jsintéressée

Ne sera pas si mal récomp<m:sée :

Non, Euphémo,n ; t0n'pere ne Vétit pas ·

'.I''offrir sans bien, sans dot,

a

ses_ appas.

Thé~tn

3

12