ACTE II,
~CENE
IH.
Je fis écrire au bon~ham:me
de pere:
On s'entrem~t, on _poussa lóíñ i'affaire·;
Car en mon
nóm.
souvent ·o.n
lui
:P?-rla;
Jl
répondit qu'il verraitltout c-ela.
Vous voyez bien q,ue la chose -était su11e.
L1'S1E.
Oh! oui.
MADAME CRO'U'.PILLAG.
Pot,1.'r
m.rei,
j'etais
pte't~
a
·conch.1:re.
De Fierenfat
.afor-s
fo
f
1
reré
a1FJ.é
A
votre lit
füt,
d-iif:-oñ,
ti·estin.é.
LISE.
Quel souvenir!
.·
.
MADAME
t:ROtJP'.Itt.1A_C.
C'étai't un fou, ma chereJ
Qui jouissait ·de l'honneut de vous pla,íre.
,LISE.
Ah!
MADAME CR0UPILLAC.
·~e fou-la s'·étant fort dérangé,
Et de son pere ayant ,pris ~on congé,
Errant, proscrit, peut-étre mort, que sai-s...je? ,.
(Vous vous troublez!) mon héros .de coHege,
Mon présid<mt, $aGhant que votre bien
Est, tout compté, plus ample que le mien,
Méprise enfin ma fortune et mes larme~;,:.
De votre dot il convoite les charmes;
Ehtre vos bras .il est ce soir admis.
Mais pensez-vous qu''il ·vous soit bien permis
D'aUer ainsi, 'é'ourant de:frere eri frere,
Vous emparer d'une fain1lfücntiere
?.
III