EN AUTRICHE.
33r
'cnANSON CARNIOLIENNE.
Pregliube ](enizze
Ko b 'wam hlo verzeti
Nar lepsei na sweti _
Vasvati bi hló
-Al
vé ste porédne
Ohétat lé
snate
Pa usazig-a
g0lfate
Xé
véste kok.o.
, ¡
TRADUOT10N
ITALIEl!N:t~
Q
ca._re dunett e
Se,
ÍQ&-~
sincexe
Sarehhe un p~ac~re
11 farvi l'amor
\
Ma voi fm·hachi{)t;te
A
noi
le ñc<:~M
E
9i.
corheJ~a;te
Col_tra
la ,
la ,
la1
On
a
fait_
pass.etavec·
asse.z
de talent en langué
slawe ,lé;t plüpart
des
·poetes
classiqú.es,., gn~es/ et
latins. Tout réceminent on a puhlié en esclavon
l\ne
tradüction d'Horace, avec les
ro.emes
metres
et les ,:m.emes' mesures que
l'
original.
ll
existe
également plusienrs ouvrages originau:x. écrits en
langue slawe; les écriva}ns slawons. ont c0Ínp0sé
di
verses tragédi~S et
meme
U~
púeme
épique
(
I):
mais cette langue est si peu étudiée
par, les
a:ntres
n~tions, qu.e ces po~sies sont en,core presque in–
connues parmi nous. Enfin, si Hérodote_pouvoit
lire
a
la Grec,e entiere
son
histoir.e:
écrit-e.endialecte
ionien, il ne manqueroit
a
la langue slaw~
q1úm
alphabet unifor,me , .
adQpté_
par to11s
les
peuples
_ qui,la parlent, pour que l'ode
qui
chan.te,roit ce
hienfait, q~10ique éc.rite
en
carniolien,
fut
lue
et
entendue dep11i~.Cattaro et le moµt Hémus, jus-·
qu·a
fa
me:r Glaciale., et depuis-
le
E.~nitsQh;¡ttka
jusqu'a
l'EJhe et la
Save. Ainsi,
cette
'langue est
\
(1)
Vo;yez
Appendini notitice istorico -critiche,
úc.,.