11:N
AUTR.lCt-tE.
2II
l e~
senls
nécessaires
an
s.ervice. Les.
autres,
quoiqu'<e:n
état
de servir,
sont
mis <ªu
nombre
de cel!l:.X!
do:111t
©11
p,eut. se ,
passer;
mais,
eomme
plusieurs
farnilles
sont
p.e.u
no:mlo,Fe·nses,
ces
d,er- '
niers,nesufimientpoi;n.t :- aawssi
fos¡
p.hes.defamiUe·
sont - -ils,
oli>\ligés
de faire
a
leur
tblirtt
lé
service-.,
Quant
aux
rapports.
récipFOqttes·
des
me:mhres
d'une
meme
famille, i}s se
reglent
SUF }t:}5
usagies
nationaux et
sur
les
lois.. Ainsi,
pour
se márier,
l'habitant
des ·f:rontieres '·doit
o.btenir
la
p.erm{s–
sion
du
·commandarnt
de;
sa
éomFagnie.
Le
ma–
riage
ne pent
avoir
Hetl!
que
lo:rsque
M
dernier
n'y
fait
point
OJ>position.
La dot des
Iemmes
est
fixée
par
les parens
et
d1ti
éonsentement
de tol':it~
la
famiHe :
·tu~
ne·
p@ut jam~ás consister
e:n
immeubles.
A
I'
~gard des droits
que
les tilles
ont
sur les hieris fonds,
nous en ·
parléro~s
plus
has'
en tra;itán,t
de
ces hiens
eux-Ínenies.
'
Les sessions n'0nt pas une- éteÍidue bien
déter–
minée dans
les
frontietes transylvaines;
il
_~n est
de
ni.eme
dads
les
atltres
frontiéres
füilifaites.
Ainsi, les
Szeklers
et les iiohles
\,vállaques·
q:üi
ont
été entolés
lorsqu'
on
a. établi
ces
ÍFOÍltÍeres ,
- habitoien.t sur
des
,terres
qüi
leür
appartenoieht .
en
propre ·, .
et
qu'
oh
n~·
peüt
piu~
le11r
enlever
pour les
partager
dé
ÍlOlFVeau.
Qlláqile
famille
est
done
inscrite selon
l'
état
dijs
hiens,
et
re~oit
un
numéro
particulier :
e'est
poi:Ir cette faisbn
qüe
la
grandeur
éfos sessions·
n'a
point
été·
déterminée
14.