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~10

VOYAG-e

sont regard~es comme non avenues, et lorsqu

9

il

s'agit de déterminer les hommes indispensables

pour le' servic~ ,., ou ceuX:

dont

on peut s·e passer,

o·n corrs-idere

to1:1jours cotnm-e :níemhres d'une

meme fa:mille les individ-us qlii vivén~ sur u:O:e

meme session.

Au

res-te,' ces séparation:s de l'il).té-–

rieur des familles

n'

entraineift

aueri-u

in-convé-–

nient , parce que chacune des parties de terre

qui

ltú

est échue en partage , doit

etre

regardée.

· pd1,u

elle aomme

mi

.

moyr:a de subsista1ice.

Les individus males

cpú,

appatt-iennent

a

line

meme maison, sont divisés , s0us le rapport

du

serviee, en invalides, d-emi-invalides ; ehrolés

et

enfans ;

on

distingue encore parmi eux ceux

qui

s0nt-

indi~pénsahles

áux

beso'i11s

du

serviee

et

eeux

dont

(m pelit

se passer.

Ii

n'y

a

pofo-t

d'age

fixe

'p0iu

l'enrolement des

jeunes gens;

la

seule regle .

qu'on

suive

a

c·e

sil].

et est la force

des

individus. Cependant

0:h.

~

1

ne

les enrhle ortlinairement

qü'a:

di:x:-huit an.s.

L'habitant des frontieres

n'

est jamais rajé des

controlés que dans

lé eas

d'invalidité absolue,

ou

a

moins que ' par une peiimission expresse ;

n

·ne

passe dans la Transylvanie provinciale,

0u

,n'

embrasse

l'

état

ecelésiastique. Lorsqu'il a droit

a

la retraite, on le place; selon les éirconstances ,

ou dans

la classe des demi-invalides,

ou

dans

· celle

des invalides.

D'apres

les

régiemens,

les .peres

de famille

sont