EN AUTRICHE,
nombreuse des frontieres transylvi].ines, et le
service fort étendu qu'elles exig~nt, ·empechent
que ce réglement ne soit mis
a·
exécution .: en
sorte que le pere de famillé'
a
moins qu'il ne
1
:Soit
réellement invalide, ·est obligé , ·comme les autres
enrólés, de faire
a
son tQur le service
~e
l'inté-
rieur et memé celui du cordon. .
·h ·
'
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n'est point permis' aux memhres d\me
fa- .
-mille de l:ijthandonner,
a
cause des inéonvéniens
'
(
qui pourroient en résulter pour le ser-vice mili-
faíre. Mais si
la
famille se nrnltiplie · au point de
·n'avoir
pas
assez de ,terres pour vivre avec aisance,
a.lors
fos
autorités la ·divisent en phisieurs i)ran–
ch~s. Cependant, quoiqu'on exécute assez exac~
tement les réglemens dans ·tout ce qui concerne
le
·partage des familles, il est presque impos•
sible
.d'
éviter quelques divisions illégales. Ces
divisions, se pratiquent depuis long-temps chez ·
les. Szeklers et chez les nobles wallaques-,.
d'apres
des usages anciens qu~ les lois ·ont maintenailt
régularisés.
·
Quoiqué, d'apre~l'esprit des réglemens; tous
les hommes
inscrits sous un meme ·numé:ro
doivent vivre ·ensemble dans une rneme session, ·
cependant chacun habite:, asa volonté, unewai- ,
.son particuliere' et cultive de son coté la por:–
tion de terre qui
lui
est échue dans le partage
des familles. Mais toutes les séparations formées
san.s le
consentement des
autorités supériebres
4.
.
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