ACTE IV,
SC.ENE
VII.
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BLANFORD.
Quoi ' chez madame
?
ADINE.
Oui.
BLANFORD.
Chez elle?
ABINE.
Oui, vous dis-je.
BLANFORD.
Que cette intrigue et m'étonne et m'afflige-!
Un rendez-vous? Dorfise, vous, ce soir?
ADINE.
Si vous voulez, vous
y
pourr~z me voir
Ce meme soir sous un habit de fille,
Qu'elle m'envoie, et duquel je m'hahille.
Par l'huis secref je dois etre introduit
Chez cet ohjet, dont l'amour vous séduit,
Chez cet objet si fidele et si sage.
BL ANFORD.
C'lci commence
a
me remplir de rage ;
Et j'aperc;ois d'un ou d'autre coté
Toute l'horreur de la déloyauté.
Ne mens-tu point?
A-DIN
E .
· Mon lime mal connue
Pour vous, monsieur, se s-ent trop prévenue
Pour s'écarter de la sincérité.
Votre coour noble aime la vérité,
Je l'aime en vous, et je lui suis fidele.
B L'
.A.NFo ·RD.
Ah , le flatteur !