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LA PRUDE. ·
.
ADINE.
Doutez-vous de mon zele?
BLANFORD.
Ouf. ...
SC,ENE VIII.
BLANFORD, ADINE,
LE 'caEVALIER
MONDOR.
LE
C HEYAiLIER .MONDO R.
AL Lo Ns done; pe,ux.:tu faire languir
Nos conviés _et l'heure du plaisir?
Tu n'eus jamais , dans ta mélancolie,
-Plus de hesoin de boune compagnie.
Console-toi; tes affaires vont :i;nal;
Tu n'es pas fait poúr etre'mon rival.
Je t'ai bien dit que j'aurais la victoire; .
Je l'ai, mon cher, et sans heaucoup de gloire.
BLANFORD.
Que penses-tu m'apprendre?
LE CHEVALIER MONDOR.
· Oh ! ptésque ríen :
Nous épousons ta maitresse. .,
BLÚ~FORD.
· Ah, fort bien !
Nous le savi_ons.
LE
<;I:l
E VAL IE R MONDO R.
Q~10i
!
tu sais qu'~n notaire.... ,
BL-ANFORD.
Oui, je le sais. Rne m'jmport.e g,uere.
Je connais tout le complot. Se peut-il
Qu'on en ait pu si mal ourdir le fil?
I
'
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