ACTE H,
SCE,NÉ
VI.
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DOllFISE.
Maris, vert1!1, bijoux,
J'ai dans l'esprit de vous accorder tou's.
SCENE VII.
LE CHEVALIER
MONDOR~ ADINE, DORFISE.
LE CHEVALIER MONDOR.
C !:IASSERONS-NOUS Ge
rival plcía de gloire,
Qui me méprise, et s'en fait ta-nt ac·croire?
A
DIN E,
arrivant dans le fond
a
pas lents, ta:ndis que le chevalíer
entrait brusq1,1ement.
Ecout~ns bien.
LE
CHEVALIER MONDOR. .
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faut me rendre heureux;
11.
faut punir son air avantageux.
Je suis
a
vous; avec plaisir je laisse
Au vieux Darmiu·sa petite maitresse.
A-le troubler on n'a que de l'ennui;
.
On
perd sa peine
a
se moqrier de lui.
C'est ce Blanfo_rd, c'est sa vettu sévere,
Sa gravité, qu'il faut qu'én dése'Spere.
II croit qu'on doit ne luí refuser rien,
Par la raison qu'il est homme de bien.
Ces gens de bien me mettent
a
la
gene.
lls vous feront périr d'ennui, ma rein.e.
D O R F Is E,
d'un
air modeste ét sévere,
a
pres avoir regardé
Adine.
Vous vous moquez ! j'ai pour mons:ieur B1anford
Un vrai respect, et je !'estime fort.
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