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ACTE I,

SCENE

VI.

LE

nu e

DE FO I

x,

a

la princesse de Navarre.

Ce sont des gens savants,

Qui d~ns le ciel tout cou1:ant savent

lire,

Des mages d'autrefois illustres descendants,

A

qui fut réservé le grand art de prédire.

( les astrologues arabes,

qui

étaient restés sous le portique pendant

la danse, s'avancent sur le théatre, et tous l~s acteurs de la

c0-

médie Se rangent P,OUr

k&

éQt)Ut~r•)

u

NE DE V I N"E ll

Es s E

chante.

Wous ,enchafoons le te

1

mps; le plaisir suit nos pas;

Nous portons dans les cceurs la flatteusc espérance;

Nous leur ,donnons

Ta

jouissance

Des biens

m~me

qu'ils n'Qnt

Pª~ ;

-Le présent

fuit,

il nous entrahie;

1.e

passé n'est plus rien.

Charme de l'avenir·, vous ches le seul bi~n

Qui re~te

a

la faihlesse liumªine.

Nous encha1nons le terpps,

etc;.

{ 911

danse. )

U Ñ

A$

T ll

Q

l.¡

O~ U E.

L'astre éclatant et doux de la fille de l'0nde ,

Qui devaµ,e~ 9u qu,i Hti~

le joiu·,

-

Pour vous recommeQ~ait

~OP

toµr.

Marsa voulu s'unir pour

}-<;l

pop.h.evr

d"

monde

A

la planete de

l'

Amour.

Mais quand les

faveu.rs

c~Jestes

Sur nos' jours precieu~

allaiE:P.t

s~ ra.sse{nble;r;,

Des dieux inhumainlj

et

foneste$.

Se plaisent

a

les troubler.

u

N AS T

Jto

L 0-G

u

E ,

alternativement avec le chreur,

Dieux.

ennemis, dieux i,mpitoyables ,

Soye~ confondu~-: