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AVERTISSEMENT.
alors on a trouvé t~ute la fa<;.ade du palais et des
écuries il]uruinée. La beauté de cette fete n'est
qu'une faible image de la joie d' une nation qui
voit réunir le sang de tant de princes auxquels
elle doit son bonheur et sa gloire.
Sa majesté , satisfaite de tous les soins qu'on
a pris pour lui plaire, a ordonné que ce spec–
tacle
fut
représenté encore une secoude fois.