NOTES.
les peines, et celui de leur opprobre ; qu'elle serait une grflce
plutot qu'un supplice : il nie hautement les peines apres la mort.
Soit que César ait fait ce discours , soit que Salluste, auteur–
contemporain, i'ait attrihué au souverain pontife,
il
en résulte
également que les idées religieuses des anciens llomains étaient
bien différentes des notres. Un auteur
qui
ne serait pas ahsolu ...
ment fou ( ce qu'on ne peut supposer de Salluste) n'introduírait
pas dans un livte sérieux un roi d'Angleterre avangant en plein.
parlement
qu'il n'y a rien apres la morl,
comme UJle opinion
toute simple, et qui ne doit scandalisér personne.
Le sénat suivit l'avis de Caton; mais le suffrage de ce corps
. sj puissant n'empecha point que Cicéron ne fut recherché dans
}¡t
suite comme ayant ahus.é de son pouvoir, et qu'il ne suhh
la peine de l'exil, 'Clodius
fut
soµ accusateur-.
·
(9) En sortant de la premiere représentation de Rome sauvée,
· M. d'Alembert dit
a
M, de Voltaire:
Il
ya
dans
volre piece
un
vers que
r
eusse voulu retrancher:
Permettez que César ne parle point de lui•
.Si
je n'avais eu,
répondit l'auteur de
la
tragédie ,
que des.
·
kommes tels
que
vous pour specta(eurs
,
je ~e
l'
a,urqis pas écrit,
l......