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27i..

p

o u

l'OURQ!!

ERRE.lv.

a. Vieux mor. Chercher de toU•

tes pares ,

eou~iwvre.

On

trouveP~Hr'fH1fl,

pour,

Q:úl

pouriu1v1r.

l'OUR.~UIVANT.

[.

m.

~;

brigH< pMrohtmir

t¡HelqHe

chofa,

AcAD·

F~.

On appc!le

Po11rp1;....

'fJant.

en termes de Palats. Celm qm pouríutt un

dccrcr. une licitation , un ordrc

&

une: d1flriburion

de dcnicrs. Lepourfuivantencriécs rcprefente rous

fes creanc1ers.

G~1~1~h~~!~~sª~~~e:.~~~:c~:fc":;:;~ ~;;:::

.'

p~~~

pouvoir avoir leur

chargc,

qu'ils ne pouvoientob..

rcnir , s'ils

n':woienc

faic

pendant fcpr annécs·lcur

apprentiffage dans cec cxc:rcice. lis éroicncde

la

dé–

pendance des.Heraurs, au chapitrc dcfquels ils

avoienr clroir d'aílill:er.

POlTRSUIVIR.

v. a.

Vicux mor. Pourfuivrc.

Ce

"""', die Nicod,

t/}oit rn frequ nt ufate en'f)en

les

Anciens

.,

lefq11el1 le fp1copant difaunt aujfi

Pourfoyr,

mais il a

H1U

pArticHliere jigniffrati•n,

q11i efl Errer

&

llller de p1t)1 en

p.tp

, dont font ar–

pellei:.

Pourfuivans;

ceux q11i pour parvenir

J

la di–

gnirl de HerllHI, vont par l'efp11ce de fept ans er–

rA11t de contrt'e en contrt'e pour voir

&

11ppre11 ·re

&

fF1111oiY rapporter 1;e qu'ils auront veu enf1tit

J.'•rme1, co11rts, ho111uNrs, blafons

&

toun1011 áe

divers •Princes.

Gaguin au Traicé des Hcraucs.

Les

P0Mr[u,v1tns eftoient ch11rgez. de pourf11i11ír en ce

Ro}'tume tu guerres

Ji

elles

J

e/foient, OH 1'1autres

mArchei.

r!r

ce pAr fe/jace de flpt

ANJ

,

AVant

"lu'e_/}re cr/fl:. H era11u.

On

a die

auffi

.Pour/nivir

4

cor

&

J

cri.

íur

quot Nicod

ajoU.ce

,

Proprement c'eft Alhr 11prt1

Hnt

bru

,

cornant 011 trompettant

&

huAnt

,

c'efl–

a-áire, Po1trfMi_11Je

f•

chaffe en toure1 forter de

áí–

lige,,,ce

,

par:eque

J

s Veneuri po1trfo111ent

J

s

bé·

tes q·1'i/1 ont l tncl'pour

Les

CoHrre 1111ec ho11ppement

de

bouche

&

moti de trompe, a11 /1e.-. de laque/le

0., u!•it

ancienne1n~nt

á11 cor ,

(j-

par maaphore on

áit

,

Pouríuivre quelque chofe que ce

foit

a

cor

&

a

cri,

c'efl-A-d1re en

10·1u

extrt'mirt'.

l'O URTOUR.

f.

m. Longueur, érendue de que!•

que chofe aucour d'un efpace. On die

qu'Vne che–

mint'e, 1111 lambri1, une corniche de ch11mbre ont tant

Je pourtour,

pour dice, qu'lls om ranr de longueur

ou d'écendue dedans ou hors ccuvre.

Pourtour,

fe

dir

auffi

de la circonference d'un corps rond.

Le

pourtoNr¿·.,,dome.LepourtoHr d'une colomne.

C'el'l

ce que les Gcomecres appellenr

PeripZ,trie.

.

POU!>SE.

f. f.

Maladie de chevdl, qui conl'ifte

:i

une

ditliculcé de reípirer , caufée par !'embarras

des

poumons, par l'obflruétion de l'égoU.r du poumon

qui fe

faic

par le conduit des reins, le rout accom–

pagné d'un bactemenr O.e flanes,

&

d'unedilacacion

O.e narincs, ÍUr·tout lorfque le cheval qui en c!b.c–

teinr , courc ou monre. (..e défaac eíl: un des elfen–

tids qui ob igenc le vendeur

a

rcprendre dans¡ les

neltf jours ,

un

cheval vendu. Ainfi cous chcvaux

pouffifs

fonr fujcts

:i

garantie.

PJ#j{e.

Terme de Jardinier.

Il

fe dit du 111.Cme

bois que les arbrcs pouílCnr dans l'année.

POUSSE,

EE.

ad¡. On appellc

Vin poHj[I,

du Vin

gácé pour avoir bouilli hors de la faifon, Coir par

quelque chaleur, ou

par e

qu'il a écé agité. Ccb.

arrive fouvenr par les grands ronncrres.

l'~·~J~~·~~~·l~· ~?dsªPS~

1

!~C::º:!~e ~;"fa¡;º;~:;

concre les murs fur lefqucls d ie dl'\icie. Il·íe clic

d'un p-1rcil efíon que font les cerres d'un quai ou

d'une terrnrfe. On die,

FAire le trait des p•uJTEes

d~s

vo1nn

,

ponr dice , Chercher

&

marquer les

épaifié:urs que doivcnt avoir les mues

Be

les piliers

POU PRA

boucans , qui font des corps íailla ns quiporccnt&

appuyenc les voutcs.

POUSSER.

v. n.

Faire effort contre 'f"el'fNe

cJ.or

poHr l'óter Je fa pf1tce.

A

e

A

o.

f

R.

On dit d'un

mur, qu'I/

poHffe

AH

vuiáe

,

pour dire, qu'!l bou–

cle ou fait

ven~e.

On

dir aufil,

PoHffer

.t

/4

m

tin,

pour

~irc

, coupcr les ouvragcs ..

en

plim:

f.aits

1

la.

matn ,

&

qu1 ne

fom pas

cra.mcz.

Peuffer

J

¡

4

m•in ,

en mcnuiferie, figmfic Travailler des bahú ...

tres ) des moulurc:s

a

la main.

'

PoRjler,

c:ft aulli

un

cerme de Oorcur Cur cuir,

&

on

dit,

Poujler les boHquets

,

les ftlets, les nerfs

á'un livre

,

pour dtre , Prendre de l'or avec le

f~r

a

dorer,

&.

l'appl1quer for la couvcrturcd'un

hvrc.

POLJSSIER.

(.

m. Poudre des

re~oupes

de pimes

poifiCe

!

la claye , que l'on mCte avcc le p ilre

en carrclam, pour cmpCcher qu

il

ne boufc.

On

appclle auffi

Po11ffeer,

le menu charbon qui de–

meure au fond des barcaux qui

en fonc

chargés.

Les Doreurs

fue

cuivre fe fervent de ce poufficr,

&

on en mee emre les lambourdcs d'un parqucc,

fcº~[tl~~~~e~:cp~u~~eg~r:~:~~l~~e~1:~~~!t~~~~

1

quand on netcoye le

blé

ou qu'on le p3ffe daos

- le: Van.

l'OUSSO!R.

f.

ro. In!\rument de Chirurgie.

C'cn

un fer qui a trois ¡ointes.

11

ferc

a

pouffer dehors

la

dent qu'on a dcchaulfée.

POUSSOLANE.

f.

f.

Efpece de fablc ou rerre rou·

gd.crc qu'on tire de: terrc en Italie en faifant des

puits. On la mCle avec la chaux

&

on en fait

un

morcier qui durcir

3.

l'eau. On l'appclle

:mffi

Por...–

z.o/.1ne.

11

a

pris

fon

nom du tecritoire de Pouzzol

oU

il

fe uouve.

POUT

defoJ~·

[.

m.

~clqucs·uns

écrivcnr

Pou-Je–

foye.

Gtolfe étoJfe touccdc foye, qui eft roure

unie

&

qui n'a poinc de lullre. Son grain cfl: pareil au

~~o~~~r~:p~~~¡;q~~ j~~~e ~~i~ro~e~~:i~~~I ~e ~~o:

qui croyent ce moc corrompu,

&

qu'on l'a

die

au

lieu de

To11t áefoJe.

l'OUTRE. f. f. Grolfc piece de bois, donr le prin·

cipal ufage efl: d'Ccre mife de uavers fur de gros

mues , pour poner les folives d'un plancher.

11 y

c:n

3

de differences longueurs

&

groffCurs. Celles

qui fonc en mur miroyen doivcmplürOt ponerdans

tOUte l'épailfcur du mur ,

;l

deux

OU

trois pou–

ces prCs , que de ne poner

qu':l

moitié, fice n'eft

d~a;;f~~

1

.e~~~~1 ~:~1~;::rocr;ff~~~r~:~~~h~~:

d~~/;~;~:sc~;~~}~:s~~~~~~~ª~'~~;le~~'!:~~~

rompent, on

mee

une tablede plomb entre

les

deux

bours. On appellc

Poutre 4rmt'e>

une PoYtre

fue Ja..

quelle fonc aílCmblécs deux décharges en aboms

avec une clefque reriennenc deuJ: Jiensde fer. Ce–

la fe pracique, ouquand on veuc faire poner

a

foux

un mur de refcnd, ou quand J'érendue du planchee

cll:

cdle, qu'on eftoblig:é de faire un faux planchee

par deCíus l'ouvenute pour foulager la porcée de

I~

poum:.

POUTRELLE.

(.f.

Perite pourre dom l'équarrilfage

eft de: dix

:i

doozc pouces. Elle ferc

a

foU.cenir

un

mediocre planchee.

\

P R A

ffl~1

¡:.

PRAEL

f.

m. Vieu< mor.. Pré. Ón a dir auJli

PYAr-

;

/et,

pour , Pecit pré.

~.·.1;/

J'AllAi

J

li

el

prAtÍet,

~~

1

Et 101

ltt

vitllt

ér

f

Archet.

l'RAGMATIQ!!E.