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eux dans cette ·assemblée' si ce n'erst
a
augmen- .
ter
les alarmes
?
>'
»
QuaQ~
il
ne
se:oit
pas
souverainement
1njust~
de
r~venir
sur des contra ts revetus
,de
toutes .le.s sanctions qui depuis deux siedes
obtiennent notre obéissance , chercherons–
nous
au
travers des mutations journalieres ,
le
créancier que nous voudrions troiiver tr9p
riche de
no.s prodigalités? Si nous le trbu-:–
vions, qui de nous oseroit
)e
punir de n'avoir
·pa·s repoussé des
gains
sédu.isarns ·et offerts par
des ministres . restés. impunis
!
Mais
si les diffi–
cultés
'd'une aussi odieuse recherche
nou~
.
,.
la
rendent impossib¡e,
frapperon.~
- nous
en
aveugles sur les propriétaires d'une dette res–
~ pectable'
sous tous ses aspec;ts
?
Car vous
·n'avez pas oublié, M(:ssieurs , que e'e_st la
1
fi déli
té du ·roi envers les · créanciers de l;état
qu i nous
a conduit
a
la
libérté,
et
que
si'·
écoutant les murmures clont je píitr1e,
il
efit
voulu
s~
constituer débiteur
infidele ,
il
i:'étoit
pas'
hesoin qu'il nous d.élivrfü de nos
fers
?
~~
»
Loin
d9nc"
d'incquiéter les · citoyens, par
des opinions que nous avorís solemnellement
flétries '
appliq~10ns
- nous
a
niaintenír sans
ces.se, sur
la
det_te ·publique, tme
s4·curité