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ñer de leur plus étroit nécessaire. A ceµx-d
·se
joindwit' cette ma.sse d'hommes que
ỻ
ces.sation -<les
salaires
ou
des
rentes ..
qu''ils .
re<;oivent
immédiatement ·du trésor
puhlic~
jetteroit aussi"
dans
la misere; et
q.1:1i
¡peut ca1-
culer
les
effets
d\me telle suspension, -dans
le
moment ou
tous
les
citoye.nsattendent av&
,--- inquiétude
un meilleur
ré_gime,
mais
·-oit
úen
encore n'est
remplacé?
>~
»
~epend~·nt:
noli1S ne ' pquvo11s pas
r~ta- .
blir
soudainement
les fmances. La sagesse et
la
matiiri~é
,doivent prési_der
a
cet
imponant
ouvrag-e..
·»
.,~
Q.uelle est done la
ressource .
de l'état .
dáns
des circonstances
.aussi
critiques?
L<t?
créclit'
national; et ·
certes, Messieurs, il
dc–
yroit
n'etre
pas
difficile
d.e
l'établir.. Le
royautne
reste encore
le · meme.
L'enn.emi rte
l'a
pas
dévasté.
Les pertes
que
nous avons
faites . sont
calculables. En considérant
la
nation
comme un débiteur' elle .est
toujours
ríche
et puissante ; elle est
loin
d~avoir
rec;u
aucun
échec
q1d
puisse la rendre
inso1vable~
Que la concorde se rétablisse , et le numé–
raire
caché
de
quelqu~
.maniere
que ce soiz,
-reparoitrd
bientot, et les moyens _de pros–
périt4
rE;prendront uné
~ctívit~ nonve1l~
,
\
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