( pó)
ment
des anci-ens.
aFnis-,
~t
de punir
les
.bons
citoyens.
qtii
ont
'·'osé
les dénom:er
ave e
t'Ourage-.
>,._
.
· ·
>;
Ce que
je,
<lis
-ici,
Messieur'~,
n'est qu'un
aveu
que le prevót
a
fait
lui-m~me
dans sa
letire
a
MM. les députés
r
dé
-~hrs_eille
: il a
trotivé ; dit-il ;· en arrivant
dans
cette ville;
toutes
les'
auterités
légales ce>mpromises' il
a voulti
les rétablir ; étoit-ce
la
la mission
<j_íl''il
devoit
e)(·~r~er
?·
11
avoit .
a.
pours_uivre
tles · assassi'ris , des incendiaires, mais devoit-
il
etre
le vengeur·
d~un intendan~ q~1e
la .villé
·de M:irseille ·,
que
toutes les · corporations,
, qtte soí-1 coñseiI .muñicipal
·n'on~
cessé
el€
.'dénoncer
?·
Pouvoh - il décréter comme cou-
1
'
pables les. citóyens vertueux ,. qui dans les
assemblées.
pri~naire_s
se sont élevés contre ce
meme intendant? VoiU, Messieurs; ce qu'il
a
fait, ·
ou
plutót
voila
cé
qu'on_a fait en
son nom; c'est
ainsi qu'un
juge honnete a
cessé
d'~tre
l'organe imp
~ssible
de la loi, et
,épte
sa p.rocédure est devenúe un attentat
a
la
liberté ·publique
>'·
1
Cette . nouvelle dinonciation fut renvoyée
air..
comité des
rapports~
'·
,,