(
4~8
)
4000
liv. Qui les achetera? Les anciennes ac...
tíons sont
a
3700
liv. Beaucoup d'autres
effets,
déja
g
ra ntis par notre honneur et notre loyau.
té ,
offrent la perspective
de
bénéfices
plus
considérábles
)~.
·
~
Examinons les expédiens du 1?1-inistre pour
associer de nouveaux actionnaires
a
un état de
choses qu'ils ne connoissent pas
».
'<
Il"
propose,
l
0
•
de morceler les actions,
c'est-a-dire,
d~
múltiplier les alimens .de
l'a–
giotage. Or,
de .
tous les passe-tems d'une na–
tion ,5'est
la
le plus dispendieux. Nous devons
done,
en écoriomes _sages, mettre en ligne de
c.ompte cette dépense, quand nous évaluons le
·has
intéret auquel la banque nationale nous
pr:et~rél
les ·sécours que nous
lui
.donnerons ),.,
2
°.
«
11
demapde que , non contens de
ga–
rantir les opérntions de la bapque nationale,
. no1ts a·ssurions ·
encóre six pour cent d'intéret
a
~~s
actionnaires. Six p·our
~e!lt
!
c'est
peu
poi1r
-des
agio~eurs; '
e'
est
beauco.uppour la n.ation.·
Mais
vóulez-vous
co~noitre
1a
conséquence
nécessaire
'de cet
encoura
1
gement
?
il enhardira
- ' ' '
les opérations de la
,hanque (
(.ESQUELLES 'JA-
MAI5 NE
DOIVENT
ET~E
HARDIES ). En
effet'
'qüelle sera son
pis-al~er?
de nous demander
, annuellcment',neuf
millions,
ou te
supplémen1t