Previous Page  493 / 532 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 493 / 532 Next Page
Page Background

1

f

48)'

J

·(, Si la hanque

d'Angleterr:e

a

eu des

momens

de crise , elle a su les éacher ; jamais elle .

n'appeHa l'autorité

·a

son seco'urs : pour en ob–

tenir

d~s

délais , jamais elle ne s'est tachée par

des arretS

de'

surséance '

>,.

«

Pour que nous puissions retirer quelqu'a–

V.ántage

r~el

des billets que la

banque ·

natio–

nale

no~1s

preteroit sous- notre timbre, il fau–

droit évidemment

qu'e~le

put

attacher

a

ces

billets

l'opin~on'

.QU'ILS SERONT PAYÉS

A '

PRÉSENTATION.

Est - ce

la

ce que le ministre

nous promet )'

?

«

Non: son mémoire

ne fixe auetme époque

()_Ú

les,

paiemens

en argent 'et

a

b.u.reau

.ouvert pour..

roierzt Üre réta-hlis

''·

'' I,l

faudroit done que eassemblée nation,ale .

fit

l'·une de, ces deux

cho~es

>,.

«

Ou

qu'ell~

prolongea.t

indéfiniment l'arrét

de

surséance.

-Je

vous

le

demande,

Messieurs, ,

·oseriez-vous prononc'er un semblahle décret

>'?

«

Ou qu'elle déclarat que les biUets de la

banque seroient payables

A

SA VOLONTÉ,

et

non

a

celle du porteur.

lci

revient cette

ques~

tion :

PouR

METTRE DANS LA CIB.CULATION

DE

SEMBLAiBLES . BILLETS, EST -

I~

BESOIN

D'UNE

BANQUE NATIONALE

»?

.

'' 'Je

vois

bie~

que le ministre

esper.e

qu'un

Hh3

(