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I

1

'

''

1

,

I

( 4'80 )

nous garantirons ses engagemens (et

1e

rnon–

trerai

~ientót

jusqu'o1i va cette garantie);

..iious

laisserons

étendre sur

le royaume

entier

s~s.

racines parasites et ,voraces.

N

ous avons

aboli

les

priv~lege's

,

et nous en créerons tm

en

sa fave,u.r:,

du

·g~nre

le moins nécessaire.

Nous lui livrerons nos recettes, notre com–

.merce ·,..

no_tre

.industrie , notre argent , nos

dépots

}udiciaires, notre crédit public et par–

ticulie_r .; -

nous

ferons plus

encore ,

tant

nous

craindrons de

n~

pas

étre

a~sez

généreux: n'ous

a~o!1s

_partagé ·

1e royautne en . quatre -

vingt

.Pép~rtem'e-?s. ,

nous

les

vivifions

par

le

régime '

)~, plus

sag.e ·et le

pl\tS

fécondJ q~1e

l"esprit

humain'.

.a.it

pu concevoir (

l<fs

assemblees

provinciales);

~'ais,

com¡ne si

l'argent

e_t

le.

crédit n'étoient ·

pas

nécessaires

par-tout

l'indústrie'

nous

'

re~dons i~np.ossib!'es

a

chaque provi.nce les se–

(;.Ol~rs ~'une· ~anqae

locale .qui soit ; avec son

commer~e.

,ou

ses J}lanufactures, :d.ans un rap–

port aussi

i~m~diat

- qu.e son a.dmir1istration.

Car enfin ,

~~~ss_ie,urs

,

le

privilege

de la nou–

velle

banqt~e

,..

ffit.-.il

limité

a

la ca

pi

tale

( ·ce

qu'on ne

)10~ts

,dit

P.ªs

)

1

~

quelle banque

pan:i–

culi~re su~sisteroit

,. ou tenteróit de

s'étab] _;r,

- ~ cot~ ·d~ c~He-

·qui .

ver~eroit

dans

la

circu!a-

tion