rmneux ,
et
ne
préparent de
tres-grandes
ca•
Jamirés ,;.
«
E lles
s~approchent
a
grands pas , ces ca.–
lamités .
Nom
touchons
a
une
crise redoutable;
il
ne náus
reste
qu'a
nous
occuper,
sans
re–
láche et sans délai, des moyens de la
diriger
vérs Íe salut de l'état ''·
ú.
-Ohservez ,. Mcssieurs, que
non-s~ulement
le
nüméraire
n~
circule plus dans les ·affaires
du .commerce, mais encere ·que chacun est.
fortement
sollicit'é pour sa ptopre súreté,.
a
thésauriser·, autant que ses facultés le lui
per- _... ·
mettent
>,.
_,_.:
Observez que les
causes
qui tendent
a
faire
sortir
le
nu~éraire
du royaume' loin de
s''atténuer, &eviennent
~haque
jour
plus
ac–
tives,
et que cependant le se.rvice
~es
sl.1bsis–
tances
ne
pent
pas
se faire, ne peut pas
m~me ·
se
concevoir sans especes ''·
'"
Óbs~rve_z
que
t~utes
les
transactions sont
maintenant forcées ;
qu~
dans
la"'
capit~le
,,
dans
les
villes
de
commerce ,
et
dans
no~manufactures , on
est
réduit aux derniers ex-
pédiens
>~. ·
'
w
Observez qu'on ne fait absolument rien·
pour
combattre
la calamité de
nos
changes
avec l'étrang;er; que
le~
causes naturelles
qui