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( 394 )

Suivis

extraordinairement

comme

criminels

de.

leze-nation.

Pendant Ia dis-cussion de ces · divers

amen–

·~emens.,

un des

membres

propasa

d'ajourner

Ja

motion., M .. Mirabeau lui répondit avec cha–

Jeur:" Si l'on devoit vous

pendre~

Monsieu

~

~,,

proposeriez-vous

l"ajournem@nt el'un examen

»

qi.ú

pourroit

vous

sauver

?.

Eh bien

!

cin–

,._ quante

citpyel;lS

de

Marseille

peuvent

etre

»

pendus.

~0~1s

les jouri

~···

Alors

on en vint

2ux

vo.ix;

1.a mótion

principale

fut adoptée,

.et l"on

décréta de

ph.Ís

.

sur les

divers

amen–

detnens:

Que toute oour, méme en vacati<>'n; tri–

lunal,. municipalité et

corps administratif

qui

n~

11.ttroient

pa.s

transc~its

sur

leurs

registres,.. dans

les trais

jouri de. leur réception, les loix faites

par

les représentans

de

la nation,

et acceptées 'et

s.anc–

'lionnées par le Roí

,

seroient poursuivi.r

comme

,

prlr aricateurs

da.ns

leurs fonctions et

coupables

de

fqrfaitures,.

et

que le5 dénonciations faites contre

les

tdbunaux

qui ont re.fusé d'

enregistrer

les dé–

e.rets de

l'"assemblle; nationale

~

ense·mble les

pi~ce1

¡ointes,.

se:roient

renvoyées au comité. des

redzerclzes

>

1

A-

d

'l"

hl'

'

pour en

etre ren u compte

a

assem

ee.

M .

.Bouche

fit

ensuite

fa

motion de

porter

le

meme jour

a

la

sa.nction royale , le

décret

q_ui

venoit d'fare

rendu;

e~

qui

füt

adoptéª