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t ,}
Un
ect1eil
sur.leG¡.uel touelierónt
toutes. l:e~
dkc1aratio'BS de drnits ;,
C'
est la
pres·qü~imp-o<s
sibilite
~
n"y,_,pas .empieter
sur
fa
'législatioN:;·
~u
moins
pa~ .
des
maximes..
Lr
ligne
.d:e
1
démaí--·.
.r
cation
est si
.étroite ,
pour
ne
p-as
dir~
idéal.e,
~.t;i,"on
la
fran:chira
únij-ot1rs ;.
et
je ne
<Con90~ .
¡pas meme
d.:~
qiidie
utilite
pratiqu:e
seró.iturne .
¿éclaration .<le
di;-oits
qtii ri'indiqtieroit
jama1s:1-
j.e
ne
dirai
po.imt ave.e le
préopi
1
nant
~
les
cc>nsd–
.-q,umces
des pa-incipes
qü'elle énonce·, mcti:s Leur
applica·tion,
ptl.Ísqne
·Chacun
·entendroit
a
·sa.
-
-
f?-,anier~·,
des maximes dont 1es
intérets
pr· v&s ·
-
•tireroient
a
l~ur
p·é
1€S
pl-us
faus~e·s
co:nse- :
<¡nences
~~.
-»
Si
un
peuple
11ieilli
au milieu
d'insfitutions
~nfr-soá.a.les
p.ouvoi.t s'a<::c-ornmoder
des
p.frn–
cipes
phi1osophiqu.esd.ans
·toute
leur
·pureté.,, ·
je
I)"'aurois
pas hesité d'adopter'
la
déclarat'ion. -
des <lr-0iits
d'e
M. i'abbé
Sieyes ;
.il
y
po5'.e
le
p -riñcipe
·foadamental · de
toutes les societés
:pplitiques-,
savoir : ·
q,t~e
les k-ommes;
-en
se réu-
•
•
-1
.,
,
• •
, .
1
-
.:1ussant- en s.oczete, n ont renonce a aucune par.tve
·
J:e leur
ii6erté,_natÚrelle . ~
pui'Sque dans l'état ilre _
la
plus grande indJpendance
,
nul·
d'
eux n'a Jamais
.,
l
d
º:t
d
•
1
l
l'h
I
I
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11
'f
t?.U
e
roz
.e nuire a
-
a
·
z erte
,
a
.
a_ sur.ete
;' _
ni
a
la
propriété
.d'.autrui;
q1.lils
n'auroi.ent p11.
a:lil.ner auc-Jtn .des dro.its
qu~ils -ti~7;;·ieiit. .d~
Dü.¡i
.
.
,