( íti'
lvons pÍacé
la
couronne dans
míe
fami11e
dé.;
signée;
que nous
en
avons fait
le
patrimoine
de
ses
ainés'
il
est imprudent
de les allariner'
en
les asmjétissant
a
un pouvoir légisiatif
~
dont .
la
forc e
r este
en leurs
~ains
, et
ou
cependant
leur
opinio.n seroi't rriéprisée.
Ce
mépris
r~vient
eriíin
á
la persoriae,
e~
le dé.;.o
posit1ire de toutes
les
forces de
l'Empire
fran~ois
rie
peut pas
etre
méprisé, sans
les
plus
gr ands
dangers ~
>'
,
.
"P.a_r urie
suite
de ces
considérations
puisées
dans
le
creur ' htirtíain;
et datis l'expérieilce ;
1e
!ºi doi
t
a:voir
1e.
pouvoir d'agir.sur
l'assem~
blée nationale , en la faisant réélire;
Cett~
sórte d'action
est
nécessaite; pour 1aisser átt
roi
ün
móyen légal et paisible de faire .
~
son
tour,. agréet des
.loix
qu'il
jügeroit
utiles
Á
la nation'
et
a
laquelle l''assembiée
natio.i.
nale
résisteroit : ri,en
ne
setoit moins
dange..;;
Útix·¡· car il
fat~dro'it
bien
que -ie
roi_comptat
sur
le
vreü
de
la nat{on, si,
pour
faire
agréer
une
1oi ,
il
av~fü
recours
Á
une
éiection
·de
ítoüveaux rnerñbres -, et , quaiid la riatiori: et
Íe roi
se
réunissent
a
des~rer
une Ioi, la ré.;.
sistance
du
~orps iégislati~
ne
peui
,plus .ávóir'
que deux causes , ou la c·orruption
de
ses
tnembres,. et alors leirr remplacement
~t
un
Tome
1/,
H