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OE LA ' LENG·UA
.1HJE1UCANAS EN PAR'l'ICULAll
187
non iation. Le combinai on
le _plus étrang
, le
intlexio11s
Je
pl~lS
difficile mettent
a
la torture l
oro·a.nes ele la parnh',
qui n
pa.rviennent jamais
a
rendr
ce claquement confus de
' OW
gutturatu;:, na' illarcl , mal arti culé et in aisisssable
qui
dominent dan ' ton ces icliome .
e,;
l'intlexibilité de ce org·ane · qni a peut-Hre contribné
a
altérer le forme primitive de tou ce diaJecte
ju ' qua les
rendre méconnai ables.
n voyag· ur moderne a ob ervé, que
dan quelque
tangue elu Brésil
qui ont un
aJfinité marquée
avec cell elu P araguay
«
il
y
a de mot ' qui peuvent a peine
e repr 'en er avec no
lettre , tant le consonnes y ont affai–
blies et tant le voy lle
y ont gnttnrale
».
Cette ob cnri é
dan la prononciation, proeluit eles altération
i considérables
üan
la langue que el apres le meme écrivain, le mot
monoxós
peut etre re1Jré. enté par les lettre.
. uivant
:
yang
(').
Or ces
deux· mot
non
u.lement n ont aucnn analogie entr eux mais
on ' e moquerait du savant
tymologi te qui o érait soutenir
qu
iI
ont identique-.
Cela pounait aider
a
expliquer la grande variété de langLtes,
qu on acn1 remarquer elans le Nouveau-1\fonde : plus on les étu–
die, et plus on v rra qu'elle
e groupent autour
el
nn tre -petit
nombre ele langues-meres. Ces recberches ponrraient nou co11-
cluire
a
la solution de cet ancien probleme, dans lequel out
échoué tant l
savant · : c'e t en examinant le
lang·ues ele'
indig·ene ele
l'
Amérique, et en le
comparant ;wec cen e: d s
autre peuples, qu'on peut ha arder
ü -.
conjectures foncl é s sur
1
iclentité de leur origine.
P eu importe pour cela que les matérianx sur lesqnels on trn–
vaille soient incomplet . L'a.rt ele l'écritur
n'existai pn.s en
~mérique
avant la. conquéte, et aucuu rnonument littéra.ire, ou
graphique ne nou est resté üe se premien; lntbitant . De quoi