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n, deux et trois ont le propre d
cette lanO'u ,
k hap
e t
le bloc lingüi tique corre pondant a cinq , main.
Il e
t
tre -difficile
d'en
fai.reune décomposition lixe. La plu simple et la plu naturelle
serait de con idérer
k
comme pronom démonstratif ou théme de
troisieme :
lc-shap
=
la ou cette-main.
Il ne me parait pa
probable que le
g
de
gad
e
oit clirecte–
ment obangé en
sli ,
inon en
t9h,
et oeLi e-ci en cell e-fa ,
onformé–
ment a Ja phonétique du kJ amath.
J e ne crois pas non plu que dans
nep
1'11
soit tran formation
directe de
g
inon qu'il doit etr venu par l'intermédiaire de
m.
Dan cette langue joue un rol e tre -important
1
verbe
gi
qui
signifie
« e~ren
et qui
e dérive du
umérien corre pondant
ga,
etre.
Quoique, de un principe, Gat cbet ne reconnai e pa ce sens comme
primitif, cependant il avou qu
r éellement
il
l'a. Le lin o·üiste améri–
cain croit que
gí,
dan
ou origin , n'a pa diff ºré du pronom dé–
mon tratif
g'i.
mais, a mon avi , c'e t une erreur in outenable dans
le klamath , mai
capabl
d'etre reconnue au poin t de vu
de ma
the e.
J 'ai déja dit que le démon tratif umérien e t
gan,
de sorte
qu'il n'est urvenu eulement, avec le verbe, qu un
imple ca d'homo–
phonie. 12 2
La meme cho e se pa se avec es autre
en :
Gi
posséder, avoir
gcb,
a oir, pos éder (s uméri en)
Gi
fa ire
ga,
faire ( umérien)
Gi
parler
ga,
parler ( uméri en).12
3
1282
Gatsohet, pp. 430, 431.
1288
Gal chet, p. 431. Hommel,
11111crisclie
Le.,
no. 14.