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Le araignée , emblable
a
d'autre insecte , ont été ·on idéré,
coinme cau e de mal adie par cer taine tribu américaine : ces in–
di n d mame que le chald 'en , royaient que ce in ·ectes ren–
daient
l
s homme malades, en 'in t.roduisant dan lem orp et que
ceux- i étaient guéri par la magi et le exorci me .
Cell e qui st ici réproduite plu ba a, au centre de ·on corp ,
une excava.tion conique terminée par un trou, t offre comme nota–
biJité dix- ept trou ourbes di po é dan le cer cle extéri eur de la
premiare zone qui l'entoure; tous le cercle de la figLU·e ont au
nombre de ix, et de vingt-cinq le pointe triano·ulaire que forment
le périmetre.
12 39
(Figure no.
97.)
'l'rou,
bad,
e t mort; et par les combinai on numériques des trou
et de pointe , il e
t
pos ·ible que ce. amu] tte aient élé employé
dan des pratique mao·iques.
L'araignée était don idérée parmi le in ecte et ceux-ci avaient
pour nom genenqu
u.i;.
ce mot corre pond, parmi d'autre a
y-
rien '
nabu,
qui 'écrit de deux fa9on
uivante :
Ná bu
.tJ~
Aábu
.tJ.-..ffi ~~.12~0
Le premier unéiforme est idéooTamme d'in ect , le econd de
déchirer, tuer
1 H 1
et
1
troi ieme d'etre
1242 ;
au i
nábu
t
ugu,
dan
ce cas , indiqueraient
ui1
in ecte capabl e d tuer par piquure, ca
de araigné venen use .
A mon avi
l'araiO'née apparait au i, dan ce de sins, en
rai)port ave de ig ne lumineux ou plutoniens. Dan ce ca , j e
ro1s, e trouve l'araig née de Ja fig ure, qui porte au centre de son
corp une croix ntourée de
el
ux er le concentrique
En plus,
el
a tete se détache une ligne en zigza
º"
124
J
(Figme no. 9 .)
Beaucoup de croix eles obj t·· de
mound
·
con ielérée ant 'rieure–
ment ont pOLU' \\
7
ilson ele parfaits
swa;;tica
~ ,
et s'il en était ain i,
le fait n'amait pas d'expli cation dan les rigoureuse limite de roa
t.héorie; pui qu·a Babylone et en Assyrie il aurai t. été inconnu, comme
le consign le mame \Vil on.
1 2 H
En plus, omme Je symbole en
remain we carch for ii (ihe wasiilm) in vain.·
(CJennnic .Art in Re111 oie .A.ges.)
l'lfox Müller and oun( Goblc(
el'
AJ viellt\ ttre
óf
the sam
opinion.
(«La Migrn–
tion des ymboles»,
pp.
51, 52.) (\Vil
on,
p.
06)
« . . .
ih fylfoi
or
swu
ti.kawas
m1known to Babylonian art ». (Hall , H. R.),
'l'he oldest civi1izatio11 of Greece, L on–
don,
1901,
p.
300.