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des lobes hépatiques, détermination qui ·est ju ·tifié
non-seulement par la structure de ces c cums et par
leurs connexions avec le tube digestif
!
mais qui e
trouve cornplétement confirmée,en outre, par ce qu
l'on connait aujourd 'hui de la structure du foie dan
plu ieurs Mollusque nudibranche .
L'appareil générateur des Ph lliroés présente, dan.
sa disposition , la plu grande ressemblance a ec celui
des Gastéropodes que nous venons de iter .
Cet appareil commence postérie4rement par deux
ou trois petites masses arrondies qui ont ' té gén 'ra–
lement considérées comme des o air s (1) . e par–
ties, recou rtes
a
leur urfa e de gros es granulation
aillantes, offrent, sur un point de leur cir
on~ 'r
nce,
une espece de pédicule qui donne naissance
a
UD
oviducte ( fig . 3 et
4
o, o, o);
les conduits, qui nai -
sent ainsi de chacun de ces o aires, se réunis ent en
un canal unique qui se dirige n avant (fi g, A,
d),
t
qui, apres avoir tra er é un renflement
o"id
(fig.
4,
el ),
se continue avec un second o iduct
u
utér us d ' un alibre heaucoup plu con id ' rabie , r ' uni
par de ircon olution tre - err ' s en une petit
masse globuleu e, itu ' e en de s u de l'e tomac (fi g. 3
et
4,
m, m, m) ;
cet utérus 'ou re
a
l'extérieur par
( 1) ous avons toujours trouvé ce ovaire au nombre de troi
;
on n en voit que deux ur
1
indivi du
qui
a été ligur '
par
P
' ron t
Le u ur
t
qui a ervi plu tard aux ob er ation
<l
I.
d Blain–
ill e. E chscholtz en a compt ' jusqu'a ix dan l'e
pe
e qu'il a
de ign 'e
011
le
nom
de
Ph . Lic!ttcn teinii .