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UDIBRANCHES .
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r end
a.uxparties antérieures de la h ouch e et aux levr es;
le troisieme descend sur le c6 tés de l' resophage e t v ient
aboutir
a
un ganglion buccal unique' pl acé en dessous
de e ondui t,
a
son origine (fi g.
3, 14
)_. -Ce ganglion
. buccal, un peu allongé transversalement, fournit en
avan t troi nerfs : un , médian et tres-gr ele, qµi par ait
se rendre
a
la langue ; deux autres, latérau x:_ -e t plus
volumineux, qui se perdent sur les c6 tés de la masse
buccale. Par son b ord postérieur , le ganglion b uccal
donne encore n aissance
a
deux filets n erveux qni se
portent en arriere , le long du tube digestif auquel ils
sont entieremen t destiués (fig .
3
et
17).
Outre les nerfs que nous
enons de décrire , les
ganglions de la premiere paire en émettent deu
au–
tres volumineux, par leur partie postérieure; l'un de
ces nerfs parait se distribuer surtout
a
l'appareil de
la
génération; l'autre se di ise en trois branch s qui se
ramifient dans la peau
el
qui n ous ont paru envoyer
au si q uelques filets au creur et aux crecums du
fi
ie;
ce dernier nerf communiqu a ec Je précédent, par
une de ses branches,
a
peu de distance de on origine
(fig. 3,
1fr.,
16) .
Les deux nerfs, dont nous venons de parler, doi–
vent 'tre considér ' s, d 'apres leur distr ib ution, comm
des n erfs
iscérau
destinés surtout aux appareils de
la génération et de
la
respiration. D' apre cela, le
ganglions cérébraux fonrniraient ici des nerfs au vis–
e ' res, con trairement
a
ce que n ous a ons ch erch ,
a
' ·ablir précédemment, daos nos généralités
ur le
'Sl '
m
nerveu de Moll u qu s céphalé ; mais n ou