PTÉROPODES.
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',J"Steme musculaire.
-
Le nageoires ne parais ent
formées que par un seul faisceau de fibres musculaires
qui s'épanouissent et s'entre-croisent un peu
a
l'extré–
·mité de ces appendices.
Le muscle rétracteur de !'animal est représe_nté par
trois rubans musculaires, dont deux sont situés en
dessus et sur les coté ' et l'autre
a
la partie inférjeure
t m ' diane. Chacun de ces rubans se subdivise,
a
son
trémité postérieure, en deux faisceaux ·qui viennent
s'insérer
a
la face interne du .manteau, un peu en ar–
riere de la ligne moyenne; en avant, ils paraissent se
continuer , du moins en partie, avec les muscles des
nageoires ( pl.
15,
fi g.
1,
2,
m, m, m
) .
Les appendices branchiaux sont aussi parcourus ,
dans toute leur étendue, par un petit faisceau muscu–
laire qui sert
a
faire rentrer ces organes dans le man–
teau.
Organes des sens.
-
Ces organes se trouvent r é–
duits, dans les Euribies comme dans les autres Ptéro–
podes , aux tentacules et
a
l' organe vestigiaire qu e
nous avons signalé comme l'organe de l'ou'ie.
La ensibilité générale, ordinairement tres-dévelop–
pée dans le manteau des Mollusques, doit etre tres–
obtuse dans les Euribies
a
cause des modifications que
cette env loppe a subies dans sa na tu re; cependan t , il
e t probable que cette sensibilit ' persiste dans les par–
t-ie ant ' rieures ot1 la pean a conservé ses caractere ,
et probabl men t auss i dans les append ices qu nou
av n
n idéré
mme l s branchies .
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