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PTÉROPODES .
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Organes de la respiration.
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Nous avons vu que
le manteau ne présentait pas d 'autres ouvertures que
celles de la génération et des organes digestifs; les
branchies ne peuvent done pas etre intérieures dans
ces Mollusques. La nature particuliere du manteau et
celle des nageoires, qui sont entierement mu.sculaires,
ne permetlan t pas
<l'
assigner des fonctions respiratoires
a
ces deux parties, nous avons été conduits
a
consi–
dérer, comme des branchies, les longs appendices
qui se lrouvent placés
a
la partie antérieure de !'ani–
mal, en avant des nageoires . Ces parties présentent
une di position plissée et vasculaire qui ne permet
presque pas de révoquer en doute leurs fon ctions
comme organes respiratoires, et ce qui vient encere
a
l'appui de cPtte maniere de voir, c'est que M. Gaudi–
chaud a observé sur le vivant, un mouvement de
circulation bien distinct dans ces appen<lices.
e
s expansions bran hiales offrent cela de particu–
lier qu ' elle sont tr ' s-contractile ; elles prennent alors
la forme que nous avons représentée sur une de nos
fi gures ( fi g. 7, 8 ) .
Le branchies des Euribies s'éloignent done par
leur forme et par leur position des branchies des
autr s Mollusques ptéropodes; ell es nous paraissent
con tituer un des caracteres les plus saillants de
l'
or–
gani ation de ce Mollusques .
Organes
de
la circulation.
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Le creur occupe la
l a e d
e appendices, ur la li gne médiane; nou
a ns u du moins a ez distinctement, dans ce