PTÉROPODES.
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rieur qui ient s'appliquer contre le repli postérieur, de
maniere a fermer complétement la dépression anté–
rieure qui simule l'ouverture de la coquille ( pi. 14,
fig.
!~,
5)
(1).
Malgré sa consistance semi-cartilagineuse,. le man–
t
au e t diaphane et laisse voir par transparence la
masse intérieure des visceres. On remarque, dans son
épaisseur, des lignes qui circonscrivent de·petites cel–
lules et qui se dessinent en relief sur sa face int_erne;
a face extérieure est au contraire réguliere et lisse.
Description intérieure .
Orgalles de la digestion.
-
L' orífice buccal est ter–
minal, comme dans les Clios et les Pneumoderme ;
il est un peu ovalaire dans le sens vertical. ous avons
déja dit qu
cet orífice était garni inférieurement de
deu
appendices qui
emblent etre les analogues de
ceu qui se trouvent sur les c6tés de la bouche, dans
les genres que nous venons de citer, quoiqu 'on ne
remarque pas de suc;oirs
a
leur surface ( pl. 15, fig . 1,
3,
ÍJ.,
l,
li ).
La cavilé buccale est grande et probablemenl un
peu protractile. La langue , que l'on voit a sa partie
(1) La portion cartilagineu e du manteau, qui simul e une co–
quille, n'adbérant
a
!'animal , comme nous l'avons <lit , que par
- une membrane tres-mince et par quelques petits faisceaux muscu–
lair s, l'on corn;:oit que cette partie pu is e s'en détacher as ez faci–
lement , ce qui a pu faire dire
a
1.
Rang qu' il n'ava it con er
é,
<le \'individu r¡u' il avait recueilli, rrue
la cor¡uillc .