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l\IOLLUSQUES .
les Mollusques de ces genres, ils nagent Loujours dan s
u!'l e pos ition renversée .
Ainsi que nous l'avons dit précédemment , nous
croyons qu 'il faut rapporter au genre Euribie la Cym–
bulie décrite par MM. Quoy et Ga imard, sous le nom
de
Cy mbulie de Norfolk
(C.
01folkensis)
; ceti.e espece
constituerait une espece diITérente de celle que nous
faisons connaitre, par les rugosités ou les petits tuber–
cules qui h érissent la surface du manteau.
Nous somrnes tres-portés
a
croi¡e également que le
petit mollusque ptéropode snr lequel
l\i.
Ranga établi
le genre Ps cbé , devra au si •tre rangé parmi le es–
peces du genre Eur ibie , dont il e rappro he tout
a
fait par la forme, et dont
il
ne différerait que par la
nature du manteau (1) .
('J)
D'apré
l.
Rang , le manteau erait simplement membra–
neux dans les Psychés.
Ce qui nou semble venir tout
a
fait
a
l' appui de l'opinion que
nou s émettons ici, c'est ce que
l\'I.
Rang dit dans son
Manuel de
Malacologie ,
a
la suite du genre P yché , que "
l\'I.
R ynaud a
rapporté de son voyage de l'Inde c¡uelc¡u s clessins de moll usque
ptéropodes qui parai ent
'y
rapporter. ,, Ce
dessin , que
l\f. Reynaud a bien voulu nou communiquer, repré enten t en
effet, d' une maniere
trés-exacte , l' Euribie qui a servi
a
nos
propres oh ervation .