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e manteau reproduit touj our d ' une maniere exa t
la forme de la coquille ; c' st ainsi qu 'antérieurement
ils'avan eplu endessusqu 'endessou ,etqu'enarriere
il se prolonge égalementen l ointe sur ]a ligne médiane.
u
est tre -mince
a
sa partie supéri eure ou I'on voit
par transparence le grand muscle rétracteur de !'ani–
mal ,
l'
appareil branchial et la ma se viscéral e. Cette
pa1tie du manteau présente de chaque coté une série
de petit cordons blanchatre qui se portent transver–
salement de la ligne médiane sur le có tés et qui sont
formés par de petits faisceaux musculaires destin és
a
faire rentrer les bord du mantean et surtout certains
appendices que nous allons bientot décrite . D' apres
M. de Bl ain ille, Cuvier aurait pris ces faisceaux mus–
oul aire pour des ais eau branchiaux; mais on peut
se convaincre que Cuvier n 'a pas commi
ette erreur ,
d 'apres ce qu 'il en <lit dan
l' explication des fi gures
qui accompagnent son mémoir (fi g. 2 et 3) .
La par ti e inférieure du manteau es t doubl ée dans toute
son étendu e, si ce n' e t vers les hord , d 'une couche
errée de petites granulati ons s mblahle
a
des cryp tes
muqueux, qui la rendent plus épai e et moins trans–
parente. Cette couche es t circonscrite en arriere par
des 1i gnes régulieres et serrée qui décrivent une courbe
a
convexité postérieure, et elle se trouve interrompue
un peu plus en avant par une bande de lignes sem–
blables , disposée de la meme maniere . Chacune de
auraient lieu du cóté gauche seulemen t, et cet auteur ajoute qn on
peut 'en assurer par l'insufllation (ouvrag cité, p. 25); mais cette
asscrtion e t po itiv ment inexact .