PT •ROP DE
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la bou he, et dont l bord po térieur tran
er
ffr
au
i un
lPgere é hancrure dans qu lque
p ' ce .
Quand l'animal e ontra te, la partie po térieur de
e meme pied s'appliqu
ur l'antérieure, en formant
un r pli tran er e qui cach
l'
orífice de la bou he
et
qui
dét rmine un
illon
profond sur a face in–
férieur . ·
La tete et le appendi e nalatoire
ont supporté
par
une partie r étr 'cíe que Cu ier a con idér ée omme
lec u , tandis que
M.
de Blain ill e la regarde comm
une e pece de tronc ou de thorax qui se termin rai t
antérieurement par la tete. Cette par tie e t long ' e du
cóté droit par le conduit de t rminaison de
1
appareil
générateur, qui vient 'ou rir
a
la ra cine de la na eoir
correspondante et e continue av c un r epli qu
l'
n
voit au - dessus de la
t
· te ,
en
dehor du
l
n
ta ule
droit, et qui e prolongc ju iu'a l'orifice d
la
(fig. 5) .
La partie postérieure ou abdominale du
rp de ·
Hyales, plus volumineu e que la pré édente
·t on–
tenue daos la coquill e <lont
lle a la forme, et re
u–
verte par le manteau don t la di position représent
as ez bien , comme l'a fait remarqu r M. Van Beneden ,
celle que l' on trouve chez les C ' phalopodes . En effe t,
comme chez ces derniers , il form autour des
isceres
un- sac ouvert en avant et adhérent seulement
a
la
partie supérieure '
a
peu de distance de son bord
libre (1) (fig. 1 , 2, 3).
(i )
D'apres M. Cantraine, 1
adh ' rence du manteau
it
\'animal