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reu emenl , pou1· e ux. qui aurai
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pu l
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r,
1,
·ou enir de
alparai o n'a ail pa
u
1
temp d
'
f–
facer. D'ailleurs cette courte
tation n'était qu ' une halt
ur la route du Callao et de Lima,
011
il allaient bientól
e rendre . Ce fut, au urplus , une circon Lance
fa
orabl
aux travaux de la mi sion : on n'avait que denx jours
a
pa ser a Cobija, chacun ne ongea qu 'a bien
1
s em–
plo er.
Le pr mier oin de M.
aillanl a ail él ' de fair
in-
taller
a
terre
l'
observatoire aupre du mat de pa ilion .
L plan du port de Cobija manquait
a
no
recueil h -
drographique . Bien qu'on n' utpa · a ez de temp pour
entreprendre de le le er avec toute la pr 'cision de d ' -
tail qui distingue les publicalion du d ' pót de la marine,
il était po
ible du moins d ' n prendre un croqui
t de
déterminer, par de observa ti ons xa te , la position
géographique du lieu .
oin fut confi '
a
M. Darond au,
ingénieur b drographe, qu 'asj tait M. Fi quet , tandi
que
1\1.
Touchard e li rait, de
n
óté ,
a
une éri
d 'ob er ation d 'in lioai on
L
<l 'ioten it ' magnétique .
En mem
t
mp les naturali te de l'expédition pour–
uiviren t a ec leur zele ordinaire
les rech r hes qui
intére aien t leur pécialité .
On d mand ra peut-etre ce que e d rni r p u aient
se prom ttre de leurs e ·ploration dan un pa s que j'ai
p int i pau re dP don de la nature? La
éologi
t
ut
au plu
de ait
eule
o apparen e
gagner qu lqu
' hantillon min ' ralogiqu
. M.
h
ali r n' ul gard