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2:SO
O AGE
ce Le hasard nous a ait pro ur cett
elle s'évanouit bientót. Pres de
j
une néréid
il-
lait en eITet une vi ille du ' gn , au,
u p
r~ant
a
l'or ille attenti e. Elle ent ndit ans dout le bruit d
no pas; nos tete e montraient
a
pein ur le omm
1
du rocher, qu ' un ignaJ d 'alarme mit en fuit
a1m
joyeux. En un clin d 'reil t ut a ait di paru dan l
hautes herbes qui bordent la rive .
«
Quand nous descendimes nou -mem au pi d de Ja
cascade, aucun autre bruit que c lui de s eaux ne tr u–
blait le
al
me de ce beau lieu.
«
Nous étion euls; l'ond ' tait lair et ]impide; il
faisait chaud; or, le bain rafraichit . ou ne manquame
pas de profiter de l'occasion, bien
ói·
qu.:: p r onne n
iendrait nous d ' ranger; nous le p n ion du moin .
Mais nous comption an la urio ité des fille d'
~
e.
Nous a ions pris la place de baigneu
qu notre ap–
procbe avait effarouchée et nou le cr ion bi
11
loin déja. Quelle ne fut pa notre surpri , en le ant l
eux, de voir le rocber couronné de toute ce bell
fugitives qui, etue maintenant, ne e fai aient pa ·cru–
pule de n u contempler
a
leur ai e!
e
lrait uffit
a
peindr le mreurs du peuple d'Oahu t
h
donner un
idée de la maniere dont il
mpr nd
le'
le ,ot1 de mo–
de tie que le mi ionnaire ch r h nt
a
lui in ulquer.
ce
Ce fut
1
d rnier incident de cetle prom nad dont
ha un de nou rapp
rta
d agr 'abl
ou' mr
t qui
vaJu t
a
l'exp ,dition
J
n nombr d'obj
l
iol ére sanl