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r1u 'on p u ait aupr '
<l 'elle acqu 'rir d'a ez mai are ·
denrées.
Koua-1 eni se montra plus accommodant; Je
util de
fer ou d'aci r figurant parmi le objets d 'é bang
remi
~t
la
Bonite,
a son départ de Fran e, a aient
a
e
ux
une véritable valeur. Il en a ait besoin. On mit de cót '
en sa présence ceux de ces objet qui semblaient lui
convenir le mieux ; on
ajouta de collier , des brace–
lets' des boucles d'oreilles
a
l'adresse de a
fi
mme et il
s'engagea de grand crenr
a
fournir
a
la Bonite,
en
ivre
frais de toute espece, beaucoup plu
que n'aurait ja–
mais pu offrir Kapio-Lani
a
beau · denier
ompt:rnt.
La journée se pas a de la maní ' re la plu
agréabl
pour les hótes de
la
BÓnite
et Ja plus propre
a
lai er
dan le pays de impressions favorables. Aquatre heure
et demie le diner fut serví dan
la salle
a
manger du
ommandant. J oua-I eni et Kékéli firent honn ur
a
la
cuisine fran((aise comme aux
in de notre pa
.
Mais, peu habitué
a
une cbere aus i ucculente, le gou-
erneur d'Ha aii se sentait inclisposé dan 1intérieur
du navire. Il monta sur le pont et le grand air ne r 'us it
pa compl ' tement a 1 rétahlir. Kékéli, quoique plus ro–
buste, n'allait guere mieux. Le momenL était v nu pour
tou deux de regagner leur ca e
a
terre.
D'ailleur le Lemps s'ob curcis ait et s mblait menacer
de torren t de pluie. Le plus ag était de partir . Il pri–
rent ce partí et quitterent le borda anl la nuit, au bruiL
d 'un
al e d quinz coup d
anon, qu i aluer nt
a