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actifs et a entureux un a antag que n'offr nt pas 1
voyages par terre : c'est la ariété..Porl' an
tran ilion
d ' un pays dan un autre tout différent par a onstilu–
tion physique, par ses productions , ses usages et e
mreurs, le voyageur saisit avidement ces caractere
rendus plus frappants par le contraste. Sa curiosité san
cesse excitée par des objet nou eaux n'a pas le temps
de se refroidir. Plus il voit, plu il veut voir encore, et
la satiété ne
ient jamais détruire le plaisir qu ' il trouve
a
courir le monde. Aussi le voyons-nous, apres un pre–
mier voyage, tout aussi ardent
a
s'élancer ver d'autres
lieux; il est rare que celui qui a une fois gouté ces jouis–
sances ne veuille pas les éprou er encore .
Pour les esprits graves et réfléchis, qui aiment au con–
traire
a
approfondir un sujet, plutót que d 'en effleurer
plusieurs en passant, ces courses rapides d'un bout
a
l'autre de l'uoivers soot une perpétuelle occa ion de re–
grets et de déceptions. Nouveaux Taotales, ils voient io–
cessamment leur échapper l'aliment que leur intell igence
laborieuse poursuit a ec avidité;
a
peine un objet d'é–
tudes intéressantes s'offre-t-il a eux, qu'il faut partir et
abandonner les recherches commencées. On ne moi -
sonne pas, oo glane daos un voyage de circumna iga–
tion.
La
Bonite
quittait pour n'y plus revenir cette terre
d 'Amérique qui u 'est déja plus un nou eau monde mrus
sur laquelle
il
a tant
a
frure encore , tant a étudi er .
Elle n'a ait fait qu
tou her ur quelqu
point d
on