SUR LES TERRES riE ERAKE.
llaie, ou
no.ustromvames des habitans . nus, hommes
et femmes' qui passoient d'une lle
a
une autre' cher–
chant leu r .nourriture ; et nous fimeS' quelques échanges
avec eux.
" D e la, ayant repris la route dn Nord ' , nous
rcncontrames, le 3 Octobre
2
,
t roís /les ,
dans une des–
quelles nous
trouvames une qu antité d'oiseaux ( sam
doute des
Manc/1ots)
si considérable, · qu'elle .passc
t0u1
ce
que I'on peut imaginer.
' Je ferai rcmarquer ici que, lorsque , dans tes Rclations
anciennes., on trom•e ces expressions: N ous f.lmes route
au
}lord ,
au
Sud,
a
l'Es1,
a
l'011ts1;
cela ne veut pas toujours
dire que la Route ait
été
dirrc1ti11rn1
au
Rumb du N ord,
a
celui du
~'
•
lement
cotl du
ll ord,
par
11
est
impo
,¡
des anciens
rappons.
• JI
yn évidemment ici foure dnns la cinte. On vcrra ci-npres,
da
ns
l'Extrnit du
1
f'or/d ruo111pt1ssrd,
que ce doit etre le
trrnu
et non pas le
trois
Octobre. Comme la ciare est en chiffre dans
la
opie que
f{,u/¡/11p
a donnée du
Famous V'?)'agt,
on peut
croirc que c'cst une fu11te d'impression.
Lo111•r11co11r1
dnns sn T r.1duction ele cette meme Relation,
dit : " L e
1•j,1g1ilme
O ctobre , par un vent propre, ayant
rcpris notr'c rourc vers le
' ord , nous avons découvert trois
ilcs , &c.
»
:
mais
In Rclation de
Flrtchrr
ne laisse aucun
doute
que
ce ne soit le
1rr111r
et non pas le
vi11g1.
X
>