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-et toutes les formes remplies : et, pour que dans cette
suite
il
ne reste ríen
a
desirer ' ni meme
a
imaginer'
!'extreme de toutes ces formes s;offre dans ' le bec en
lame verticale de l'oiseau dont il est ici question. Qu'on
se figure deux lames de.couteau tres-courtes, appliquées
l'une contre l'autre par lé tranch.ant; c'est le bec du
Macareux,
•• , ••
·Ses deux mandibules étant réunies
sont presque aussi hautes que longues_, et donnent
a
:son bec ( vu de profil ou de coté ) la forme d'un triangle
a-peu-pres isocele; le contour de la supérieure est oordé
pres de la rete, et comme ourlé, d'un rebord de subs–
tance· membraneuse ou cal!euse, criblée de petirs trous,
et dont I'épanouissement forme une rosette
a
chaque
angle du bec '
»,
Les. autres Caracteres Clu
Macareux
sont
i
d,lavoir
~oís
doigts deva1
t,
toµ,s
'oi
ts'
Men
le pár
es
em–
branes emie es
1
0int de
oigr de d ·r.iere : les
jambes placées tout-a...
it
d rriere, sont caché s dans
!'abdomen' <te
{5!il!g
'a
oi~'
uana
fl
se
a
terre'
une situation presque
er endiculaire, · comme le
Man–
cllOt
et le
Pingóuin;
et, dans sa marche chancelante,
iI
semble se bercer; aussi ne le trouve-t-on sur rerre que
retiré dans les cavernes ou dans les rrous creusés sous
les rivages' et toujours a portéc de se jeter
a
l'eau,
lorsque le calme des flots !'invite a
y .
retourner.
11 est a-peu-pres de la grosseur de la
s
arce/le
J
mais
plus court et plus ramassé ; sa longueur
~'est
pas de·
' Ce
rapport imparfait avec le bec du
Perro9uu ,
et le
rapport non moins éloigné du cou raccourci et de la taif!e
arrondie , ont s
1f!i
pour fuire donner quelquefois aux
Ma–
careu.r
la dénomination
tres-impropr~
de
Prrro9u(f dt Mtr.
L'
''·
.iACAREUX.