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,
·
179 1.
Mars.
¡
l 2.
PHOQUES,
Le Morse
de Coo¡¡:,
VOYAGE
les Défenses de .:es anirnaux se renouvellent annudle–
ment
óu
périodiquement , et que ceux que l'on tua
n'avoient perdu leurs vieilles dents, que depuís peu de
temps.
L es Voyageurs et les N aturltlistes auxquels nous
devons la Desc'ription du
Morse
ne font aucune mention
du renouvellement périodique des <lenes : cette particu–
larité leur e11t elle échappé
!
A en juger par la lon–
gueur commune de
deux pieds
,
qu'ils donnent aux
D éfcnses du
Morse,
il
ne paroit pas que l'on puisse
admettre qu'elles se rer¡ouvellent chaque année : on
~era
plutot porté
a
croire que J'Espece de
Morse
que
COOK a chassée au Nord du DÉTROIT DE BERING; a
les dents beaucoup plus courtes que celles des
Morses
qui se trouvent répandus dans l'ÜCÉAN - GLACIAL
AnCT!QUE au Nord et
a
J'Oricnt de l'ÜCÉAN-
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el
.1¡ orse
que j'ai décrit
( ci-devant page 7 " ast
~vé"'Oe
bras
et de
jambes:
ces membres sont en fe rmés dans sa peau ; il ne sort.
au dehors que les deux mains et
1
es deux pieds '"
D ans celui de COOK, au contraire ( si comme on doit
,.. le croire, les Figures dessinées par· M. \Y/EilBER son t
exactes ) , on distingue des
bras
termin és par des
mains, et des
jambes
termin ées par des pieds , qui
saillent hors du corps ; et les mesures prises et rap–
portées par CooK le confirment :
so~
M orse
(
ci-devant
page 82 , note
2
)
a les nageoires de dcvant longu es
de
2
pieds 4 pouces, larges d' un pied
2
pouces
±,
et
celles de derriere , longues de
2
pieds 6 pouces , et
larges de
2'
pieds.