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l.
Janvitr.
19.
fi
Al LLE–
EN-QUEUES.
Le petit Paille–
en-queue.
I
,
VOYAGE
inl!!ividus de cette seconde Espece, nous avons remarqué
a
quelques-uns des teintes de rougeatre ou de fauve sur
le blanc de leur plumage, variété que nous croyons
provenir de l'agé ' et
a
laquelle nous rapporterons le
Paílle-en-queue Fauve
de
BR ISSON,
avec d'autant plus
d'apparence qu'il le donne comme plus petit que
le
Pai!le-en-queue Blanc :
nous avons aussi remarqué des
variétés coosidérables , quoique individuelles, dans la
grandeur de ces oiseaux; et plusieurs Voyageurs nous
ont assuré que
les jeunes n'ont pas le · plumage d'un
blanc pur , mais qu'il est tacheté ou sali de brun ou de
noiratre; ils different aussi des vieux en ce qu'ils n'ont·
point encore de longs brins
a
la queue' et que leurs
picds qui doivent devenir rouges ,
sont d'un bleu–
pale. Ce endant, nous devons
obser~er
que , quoique
CATE56Y
assurc, · n général, q e ces oiseaux ont les
es
lon~u
s,
!'conforc ce ,
le
¡>lumes scavulaires' rerminées
,,,.~-.--
d
, !e m :y,en es
ouvert r
u dessus des ai!es , de
ce te denilie cnu!eur; en sorte que !es ai!es son r marquées
d'une iarw:: bande noi re ; les pennes des ail s variées de noir
et de blanc , qui en est la couleur dominante, de
fa~on
que
c ha'lue
-e
enne demanderoit ,presque une description
a
part
i
les pennes de la queue blanches et leurs riges noires dans la
plus grande partie de leur longueu r; les deux du rnil ieu dé–
passant celles qui en son t les plus proches,
ele
plws de douze
pouces; ces pennes étroites et n'ayant que des barbes tres–
courtes : le bec cendré
a
son origine , et jaunatre dans sa
longueur
j
la partic nue des. jambes' <le
la meme couleur '
ainsi que' les pieds et !'origine d1s doigts dont
la
plus grande
partie ,
de meme que leurs membranes et les ongles sont
noiratres. ,.
I