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D E M A R C H A N D.
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pieds et le bec rouges, cela n'est vrai sans exception
que pour l'Espece précédente et la suivante, car, dans
celle-ci qui est l'Espece commune
a
!'lle de FRANCE ,
le bec est jaun atre ou couleur de cor¡ie, et
les pieds
sont noi rs .
·
,, La rroisieme espece est le
PAILLE- EN-QU~UE
.A
BR!NS ROUGES. Les deux filets ou longs brins de la
queue, son t, dans cette Espece, du meme rouge que
le bec : le reste du plumage est blanc'
a
l'exception de
quelques taches noires sur l'aile
pre~
du dos, er- du t;ait
noir en fer
a
cheva l qui engage l'cei l. Le
P nille-en -queue
a
jiletsrouges
niche dans i'ile de FRANCE, aussi bien qu-e
le
Pail!e-e11-q11Pue commun;
le dernier dans des creux
d'arbres de la grande ile; l'autre dans des trous de petits
ilots du voisi 'l!ge . On
e voi presque jamais le
Paille–
en-queue
tl
ji ets rOU!!eS
venir
a
la gran
C
e r
•
hot
le
temps d¡s
1
lt?
-
en
-
queue commun
ne
la
fréqucnte aussi que ra ement :
U
pass
1
pecher au large
~Is
rennen se r po e
sur a ¡perite
lle du CorN-DE·MIRE qui
st a d uJt
li-eu s au, vent
de l'ile
de
FRANCE , ou se trouvent aussi beaucou p
d 'autres oiscaux
d~
Mer. C 'es t en Septemhre et en
Octobre qu 'on trou ve des nid s de
Pa ille
-
en
-
queue;
chacun ne contient que deux ceufs d'un blanc jaun acre,
marquetés de taches r ousses : on assure qu'il ne se
trouve souven t qu'un ceuf dans le nid du
Grand Paille–
en-queue :
aussi
a~cune
des E speces ou Vari étés de ce
bel oiseau du Tropique ne paroit etre nombreu se.
»
Du reste, ni !'une ni l'autre de ces trois Especes
ou Vari étés que nous venons de décr ire , ne paro!t
attachée spécialement
a
aucun l.ieu déterminé; souven t
les deux premieres , ou les dcux dcrnieres , se trouvent
F::
179
I •
JanvieT.
PA1LL6-
EN QUEUES,
A brins rouges.