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D E M A R C H A N D.
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teint , communément en vert, quelquefois en d'autres
couleurs ou avec des mouchetures ; .et, appliquées sur
l'étui ou la gaine, elles y
re~oivent
le poli : ces sortes de
couvertures sont connues dans le commerce sous le nom
d'ouvrages
en
Galucha-z,,
du nom de l'Ouvrier
fran~ais
qui. le premier a su employer la peau
d~
Cliien de mer
d'une maniere agréable, sans lui faire perdre de sa so–
lidicé : on les appelle aussi ouvrages en
Roussette.
On
nomme improprement ouvrages
en Requin,
des ouvrages
de gainerie invencés par le meme Ouvrier , et sem–
blables aux premiers , avec cette différence que leur
couvenure, également tcinte et polie , est plus épaisse,
beaucou-p plus durable, _et présente un fond de mar–
queterie en plaques circulaires , beaucoup plus grandes
que celles du
R equin
ou de la
Roussette,
et quelquefois
d'une !igne, e meme de d
UJCo
Jignes de diametre quand
on y a emplovré
partie du
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nim
L
CeS'<Lbu-
venures ne sont
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la
equin ,
quoiqu'elles en portent le nom, mais avec a d p uille
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AN ·'E.
La
P eche
fran~aise
ne fourmt point de peaux de cette
Raie
au commerce qni, jusqu'a présent, les a tir ées
d'ANGLET.GRRE, et nos galniers la mettent en reuvre
avec autant de gout que d'i ntelligence : c'est un petit
tribut que nous p ayons a l'Étranger ' et auquel il pour–
roit n'etre pas difficile de se soustraire.
L es dents du
Requin
ont été mises au rang de ces
Amulettes si vantées que quelques personnes portent
encore comme un spécifique assuré contre
les effets
du poison et contre di verses maladies, et qui, si elles
ne préservent de
ríen et ne guérissent
de
ríen
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I
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(.
Janvier.
1
3·
Rr.:QUIN'.