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179 1.
Mars,
1
l·
UA Ll!INES ,
L a Jubarte.
VOYAGE
exécute quelqu e mouvement progressif, elle fai t rcj aíl!ír
l'eau par l'ouverture
d~
ses évents, mai!T avec moin s
de violence que les autr es
B aleínes
connues : l' in stant
d'apres, elie disparo!t sous les flots. Lorsqu' n plong ant
elfe meut la nageoire de la queue, c'est un sig ne qu'elk
descend
a
un e profondeur considé rablc' et qu'elle restera
plus long - temps
a
reparohre
a
la surface des eaux .
Quand la mer est calme , on la voit comme
endorrni~
a
sa
surface ou on
la prend ro it pour. un
rocher :
bientot elle se r éveille et fait divers mouvemens avec
1rne agilité inconcevable : tantot elle se couche sur !'un
ou l'autre coté; un momen t apres' elle frappe vigou–
reusemen·t l'eau avec ses nageoire
latérales et se rctourne
sur le do s : elle prcnd son essor dan s les airs et retombc
en pirouettant bien avant de
l 'endroit
Ott
eli e s'e st
élancéc.
L ai
1 •
donner
la
mort
ssitot
a
sa plaic '
rn de l'endroit ou
l
e no
lu s su r de le faire
m ur ir, c'cst de le frapper avec une lance derriere les
nageoires latéral es . S ' il arrive qu'o n lui perce les intes–
ti ns, il s'!!nfonce tout de suite dans lame r.
Quel ques Auteurs ont supposé qu e ce C étacée se
i1ourrit d'herbe , parce que,
a
l'ouverture d'un indi–
vidu de so n Espece , on a tro uvé la grande poche du
vcntricnle
remplie d 'une substance verdatre et sem.
blable
a
de l'hcrbe
J
:
mais il es t assez général ement
reconnu aujourd 'hui qu'i l fait sa nourriture ordinairc
' Voycz
Philosophical Tra11sac1ions,
An .
166
5,
.
0
J.
dn