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T
7 9
l.
Mars.
BALEINES,
406
VOYAGE
la
B aleine,
rhais il souffie l'eau par des évents: on en vit
deu'x
a
Paris sous' le regne de
FRAN<~OIS
l.er; il est dit
que la peau, la graisse, la chair, la langue, les poumons,
tout étoit conforme
a
ceux de la
Balein~
:
on peut bien
en condure que c'étoient des Cétacées; mais qui ose–
roit , d'apres une observation du commencement du
1
6.mcsiecle, prononcer que c'étoient de vraies
Baleines,
et encore moins
a
quelle Espece ils apparteno ient
!
Baleine blanche.
J~
NE parle pas des BALEINES BLANCHES que Ie
capitaine COOK a vues pa,r 60 degrés deux tiers de
Latitude
A
ustrale
a
700
lieues da ns le Sud - Est du
Cap de BoNNE-ES·PÉRANCE : tout ce que le rapport
de G. fORSTER nous en apprend, c'est que ces
Baleines
étoient cj.'une énorme grosseur, et paroissoient !iVoir de
Iongueur soixanfe pieds anglais '. Le GRAND ÜCÉAN
vo •oit , dans ce Parage, un Vais au et des Hornmes
po'Ur la
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tle l ngueur ; et, en les
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s
ue les Mers d11
No
, D
offroient dan les premi rs temps de la Peche, on
seroit porté
a
croire que la Race qui habite les Mers
Australes est inférieure
a
celles des Mers Arctiques. La
couleur blanche de celles-ci tiendroit-elle au grand age
auquel il est possible qu'elles soient parvenues
!
ou bien
y
auroit - il , au milieu des Glaces Antarctiques , une
Espece de
Baleínes E/anches ,
comme on voit des
Ours
Blancs
s~
promener sur les Glaces du NoRD
2
!
'
G. Forsur's
Voyage.
Vol.
J. cr,
page 107.
" On
a vu cepcndant (ci
- dev(l nt
p3ge
391)
qu'E //is
dit.
.~