1
V
l N · .
mation qui dorme
f!)ll~
paffior¡
domif!ante
~ telfon~
de caraélere;
qu'~o s'~t~ndant,
qu!en crqi(
la.ntavec
J'ílge ,
ils prennenr:
cer~e
conformarían ·habitt.ielle
qui
reod le can1élere différent, oú
m~me
qul donne
un caraétere oppofé.
ll
en ell ainíi des organes exré–
rieurs :· rel enfart 'daos
fe&
premieres' années 'eft
beau,
&
de.vient laíd; tel autre ' eft laid
~
&
deyieot
beau.
'
.
·
·
. · '
•
VJNDIC~
TWN,
f,
f.
(
Gr:amm.
(!!
'Jm:ifort~d.
)
che:t les anciens
aur~urs
latins fignifioir
t~engeilnu;
il
eft emplayé en ce feos par .Cicérpn de
·;nvrntione.
~ais
el'! Droir ,'
'1~
re:rme de
vintlica~ion
fignifie
l'adron
ré~lle,
par laque
JI
e po r¿cfamoir
Te'
cfroir que
l'on avoit fur .une chofe,
a
la ditférence des aél:ions
p erfoonclles, que l'o'o appellpit·
condilliotu·.
'
'
La
"i!!1if'!~io~,
c'ell
~-peu -
pres' 'la mem'e' chofe que
ee que nous 'erírendons daos narre droit fran<;ois par
Je ternH! de
re'ÚendicatÍon.
.
'· ·
'
' ' ' . "
Ce!p!
--~
e 'IJÍtúlication
venoit
du
latín
lfliHdicfa,
qui,
.cJans Pa.n"
i.endroit; fi'gnifioir
fJoffeiJion
·:
· · ··
'
La
fllndtfation
érpir'de [rojs forces ,"celle
~e
la pro–
'Pri~~~.
cell'é OfS
' fervirydes
~
celle 'du 'gage; mais
ces
~IJU~
dernieres ·Ó
1
éroient pas
airet1e~,
C!! ' n'eroie'nr
c¡ue
~!!~
(/tlll./i·vi'.'diftltionr,
paree qué celui qui''agif.
fort
~our·
uné fe'riÍitbde 'op p·our un ·gage,
n~
prc!–
ren~prt
pas
~<re P!!OPri~tair~
de la chofe, il
y
récla-
mo!~
f.eulement quelque
dror~.
'
· ·
· •
"
·
·'
~a '!JI~dic-ation
de la 'propriéré étoir
univer~ellé,
ou
fp~¡:-ial.e
·
l)lliy~rfell~,
' Jorfqu'or
réclam~ir'
lfne hérédi.:.
ré
enrr~-rj.! .
fpéciale,
l~rfqu .á!'! r~y~npiqu!Jit
'u!le
~!'lof~
e11
!!force,
&
·celle-cr efi .ll! (eule
a
laquelle le nom
de
11i'!~i~tlt~~n
?evint pr!Jpre.
Voyez
au
jf
le
tit.
171.
tlern 'L't
ndullttone& . les motr 'AcnoN
RÉELLI!:,
GA.·
e:¡~ ;
'H
po.aQ!.'E < J{¡¡vJ:NJ.)lCATlQN, St:RVJTUDt:,
'PaS' E<s ; o N; PK·ora(h
É
(A)
·
·
·
'
'
171N D
1
CT A; .
(
'Antiq .
r'om.
)
b~guerre
dont le
lideur wuchoí t la rece de l'efc!ave que
)~
préreur
mettoic en liberté. Plante appelle cette bagt1erre
fi(-
tuca
(p.
J .
)
/.
· ·
r
• • r '
..
>
•
VlNDIC'I'~,
f.
f.
(Grllmm.
&
]Nr.ifP.rllll. )
vin(ii-
011
étoii une
déS
manieres ·J•affranchir' ' lt's' efclá.Y'es
uficées ·c.llez les Romains; c'éroir lor(que l' atfrancbif–
femeiJt fe' faifoit devánt ún riiagrftrar ; rel qu'on _pré–
tc: ur
·~" pin l~l ·o~
úq
pro~pq~!Jl :
Cene·
man\lm\ff!?~;
ptr.
vrndtéf~m,
étort
!<~
p!u& plerne & la plus P<lrfarte
dtj
~OU.feS!
.
eiJé
··prenoi~
fon nom qe
Ce
qll~
le ffil!'giftrat
.()U
llf1li~eur
fráppoit
deu~ ou · ~rois
fois 121
r~t~
de l'ef-:
·clave aveo une
' p~tilie
bag1,1erre, appellée
'f:iNdillll,
du
nom~ d'tin
efda1{e· 'nornmé
1/indicius'ou' l/index;.celui
q~¡
d"COU!rit'
a.~"' Ro~~ins' la conrpira~ion
derJ tils de
qrurus, pour le
rét~~li_ll e!l'enr
des
· T~rquins. ~·au~
~f.~~ pré~~~den~
qus
t¿~n11lla_
éroit le
~~rme propr~
JJ~ur expr~~er
un!!
bllgtult!,
~e~!e
' qpe celle do!lr on
fe fervOJt pour cette ·manumrfJJOn ;
Vo'Jez
Bor.:hol•
fer ', fur ' íes
ir~jlieut.
1.
J.
tit.
'17(.
Mnrér y ,
·'a
' lla rttcle
de
fitNdic¿ir¡
1'
hifl
de
111
jtJrijprud rom.
de M.-Ter–
raílbn; ··& 'cí•devant . les
tiJOtr
' AFFRANCHJSSEMENT,
SERF,
EscLAVE.
(Al
··
·
· •
'VrNDlCTÍ!:
P~B~H~.,.V"',
(
Ju,·ifi;rud. )
term~ .
confa–
cré ·peur expnmet ·la vengeance
&
pouríurte des
crime~.
·
'
'
·En"
France., la
-rindiéle publique
n'appartient qu'au.
minifiere pubqc, t'ell ¡t;l:Jire qlf' il 'l'appartiene q!!'aux
gens du . roi' "ou .aUJc áv<).cats
&
procureurs .titcaux
des'feigneurs de con
el\)
re
a
la ' peine dué ' au crime; les
parriculiers 'qui
ani
·éeé '
otf~:.nfés
'óe p11uvent que fe
porcer dén'Qnciareu¡,s. o.u
re~·rendre
parcies civiles;
&
en cetre· derniere qua lité, ils ne peuvent conclu-
• r.e
qiÍ'en
'd~s ' domm~ges
&
ítJtérers.
Voyez
CtttMit,
DhtT ',
MrNtH&Re PUBLtc, PAI\ l'JB
CJVJLE,
PAR.;
TlE. i>iJBLIQ...UE ; Pl!l r-. E
' (~)
' .
'
'
' ·.y
I~D~LES_. L~lt.
'(
GÚ.fr·~"'·)
f!indili
<?~
Van–
tltlt,
telon Plrne ,
t.
JV. e: :c1v.
&
V
ltniÚIItl
felon
Tadre. · Ce IQnt les ' memes
1
p euples de Germanie
q_ue
Jes Vandales .
Pqyez
V
ANDA LE,
Giog.
anc. (D.
J.)
1/]NDINU
M, ; (
Géogr.'
·11n.c-.
l
vílle de
la Gaole'
lyonnolfe. P.rolalnée ;
J.
JI.
c. viij.
la donne aux
.Au–
ltrti;
appetlés
·aúlfi
Ctnoniani.
Vlll f oeuve croit que
c'efi \>réfenrernent Vendo(me.
( D.
J.) '
·
VIN,D/.U.~,
(
Géo.g .
11n~·.) montagr~e
de I'Efpagne
tarragQI,l'Qtfe . fe<llomée•,
J,
f/
. f · 'll.l· la marque au
nombre des
monragn~s
les plu!i
confidérabl.esdu
psy~.
Elle el\ nommée
Vinni,_.r
tNflrJS
par Plorus
J.
IV
c.
xij.
qui fui ' don'ne·
l'.é.pic~eiitil'~minentiffi.n;Ns.
Oo,,ne s'accorde pas fur le nom
mod~rne ·
· Les uns l'
app.el– le.ntSierra
~e. Afi~.~IJ
,"
les··
~u
tres
Sierra
d'
Oc~
ou
Slfrr~z
d'
Owe~Jq
;·
d'autres nommenc · cetre montagoe
lrni~
&
Ernio;
& l'auteur des
áétices du
P.ortugt~l,·
"
. .
.
.
..
.
\ •
.
~
\
.
. .
)
" J
~
;6?
~4ft:
'JT
f,
dir, le ll.·;qnr gue les· anciens ont
app~llé
VindÍUf '
ou
rindutu (
9~r
' aujourd!hui il n'a' poil),r
'de . r1om partícuiJer)'
"eft
cerré chaine de
monr_agne~
qur, fe d1!a<·h,wc tJes
~_rrénées,
traverfe le Bifcaye
, &
1'
!\tlurJe,
~
forme
~ l'!ntr~e
s{e
la Gali c:e
d~plf
J>ranches
1
do,nr
l'une
s'é~end.
de long j ufqu'au cag
de
Finell~rre~
l'¡¡urre rouruant au midi, uaverfe" 'le
'pays 'des · an'éiens
~racá reS.
,
&
fépar.e ' lá province
de· Tra . Jos Monees 'de celle& qui font au couchant'.
'(D. ']
¡'
.
. .
.
. .
. .
.
-
"
17/NDO,
(
G;.ogr. anc.)
fleuve .¡:le
la (ierrnanie
~
pa'ns
~,3 Yi~del • cíe.
Ce ' fleu·v.e,
ªp.p~Jié '
au'jourd'
hui
Jfertatlh.
arr,C?t~
la villé' d?-1u sbqurg d!l
c:~né
·.dll
~oud1a1H;
&
fe JO
!O~
au J_,ech au-dellous de l'erre
vil! e ·. Fntruna t ·en parle ainfi dans
·1,.
vie de faint
Martín,
l. 117. '
·.
··
'
'
· '
'
.
'
Pergis
11d
.Augrl}!atf!
,
ft/4111
Viodo,
f.ucufl¡ue flumtllt.
J
(
•
#
•
~
1
•
•
,
'
•
'
•
.
,
Nous n'avpns poinr d'éqrivl!ins antérieurs qu,i ayent
fa ir me11rion du
f/indo.
Paur' Diacie,
de 'gejl: long:
l.
JI.
c:··xlij
qui', comm'e il
lé - dir . lui-~m~m~· .
co'pie
cer' endrort
·d~
1
Forrunat;
~crit
1/irdo
'áu'- lieu de·
p¡,.,
do:
ce
qui dopne fujet
·dé ·
dourer· s'it' 'né·
faudro~
'p'oini 'tire
~~ffí fird~
dans forrunar,
~o'Fr!= ' q\r~ J~
nom ·
~qd~rne ~~utr1~ue ~ app!Jy~r c~rre
ortogra.
phe. Cependanr · uo ' poere
(Jli~ar~us,
•uft.
J.
Jl:l
venu long'-tems ·
apr~s,
'· fuif la '
pr~miere
·or.rographc,
fi ce n'eft qu'il dit
Vind11
au-lieu de
Pindo.
·
· ·
1
1
•
••
'
•
'
.
;
,¡ .,.
R'./Pieit
&
Jpte
fluvio.r
Vindamq~e,
Litumqsu.
"
•
1
1
•
•
•
'
•
•,
(D.] ;)
\
.l
.
1
Cellar.
geogr. llnt.
l.
IJ.
e.
t~ij.
"·
~
.:.
•
•
1
1
'
..
1
f/JNDOBONA, (Giog.
•nc.)
ville
de
la Pannot–
nie fupérieure .. L'itii.éraire ' d' Antorin ' place
f/indo–
bonll
fur la róute'-de S trmium
a
Trev'es, .en ·paflanr
par Sapiane.;
&
il
t~
mer
en~re'
Mutériu¡n
.&
Coma..
gene;
<l
2i
mqles ' du
pre'llli~r
de ' ces 'liemc ·;·
&
a
1i -
<fu f
econ.
d.
Atirelius Viélor écrir
Vendobonti,
la no:
rice
Q.esdign ités de l' émpire
Vindomada,
&
J<~rnan,
des
Windomina,
d'ou appa rem r:Úenr a été fórmé le
nom
·rrioderiíe
Wlen,
donr. les Fran<;ois. ont' fait ce t
tui de
f.'ienne.
·' ·
·
·.
'
'
Perfonne n'a
p<~l'l~
de cerre ville
~~~anr Prolomé~,.
t.
/1.
c. xv.
Velle'ius Paterculns,
l.
JI . c.
eix.
don.!
he
a
eorehdre
qu l~lle '
n'e 'fubfi!loir pas
Üu .
rems
d~
Tibere ,' '
~11 qu~
du-lJloins elle '
n'é~oif
p¡¡s·
alor~
can·o:–
fiMrable, car ·il die 'que
Garnutu,
on
C11rnuhtum,
éroir la place des Roma ins' la plus ·'voifine du
royau~
me de Noi-ique '.
Ot,
il
s~enfu ít de-l~
'qu'il .n'y avoit
aucune ville importa'nt
~ntre, ~llrntmttlm & ' le~
con:
~ns
du
Norique, du iems
de
y
elle'ius .
.fare'rc!Jius~
autremenr
Carmmtum
q··~ur~it
pas été la ..
place
la
- plus ·
p~och¿·
de ·
ce ·royai:rme·.
~ai~
fi
Cllrnuntum
fue
originairement plus célebre que
findobotJil,
cette
derni~re n~·
lai11a
'pa~
df
d~ye~ir.
daris la fui re une
place de,
qu~!que
ifllporta"ce, _-purfque
d~s-
le te
m~
de
Ptolo~ée,
l. 11
c. xv.
la
dr~lenw lég(~p
germa.
niqu~
y
··~roit
en · garnilon. 'D.'anciennes ·¡pfcriptiont
trouvées
a
Vienne, difent la '
m~me
chofe. Enes font
rapporrées
par.
W.
Lazius,
1 l.
rfp.
P.
,..
vj
'
il
y
en a une enrr'aur'res '
o"Q
on 'lit ces ' mofs.
L .
~ir.i,
1111ri.r m11ximtu
Tri~.
milif.
lrg_ ,
x.
rer"!·
Les
·h11lo-:
riens' des
' fiécles ~
barb,ires 'onr do'nné
a
certe ville dif–
f~ens
npms, e-o
m
me
.A/11· Fltwianll,
C•ftrQ-FlatJillna,
FltJTJitmum
&
Fabi1111~·:
1/oyez
VJIHÑK
·en
.At1trich~ ~
{
G~og.'
mQJl.
)
·1
o :·
J.)
·
. . •., .
..
. '
V/NDOGLADIA ,
(Gíog.
11nc.)
Vi111lt~glt~di11
ott
VindocÍad,i.s.•
vrlle de la
gr.¡nde-B.ret~gne. L'rci~.éra!
...
re d' Antónm la marque fu·r la
rou~e
de Calf'va a ·Vr"l
roconi'um, e(ure
Sorbioáunum
&.
Dt~rtiO'IJtrrit~,
a
'u ,
milies du 'premier de ces lieu)r;
&
3
' &'
du . 'fecond.
Il
y
eo ·a qui
veulen~
quf
r~
foit
aujo\}r~'hui
Hul–
phord, au ¡lays·de Gallés; IJll!is felon C11,'mbden
~
e'efr.
Wioburnmin!ler en D nrfetshire.
(D. ·:¡.)'
· ·
·
·
·
17/NDOMOB.A,
(
G~og.
11ne.)
v·ll·~ ~.e
la Grande,.
Bretaghe:'· l'ítínéraire ·
d'l\ntóu~n ' 1~
marque fur
la
roure du retranchement au
··p~~oire,
eo_tre
Corj/opi~
ti/JII
&
Vin
tvia, a9
rn•lles du •premier l:le ces lieurc'
p
&
a
1
9 du ·
teco.od'.A
2.
'ou'
~ ·
·inilles
'de New·GallLe ,::
. il y a
r.inperit yilla_ge OOIJ\mlf
W•lefmd:.
ce
qul 'figni -:
.: fie
Id
fino
u le pout de ' la" muraiUe: qu'elqtJes-uns
prérendenr
qq~ ·(:·~n '
l'aÓcier,ne
Vintlomorlf.
ou
V indo–
bala,
q~•i
vo'ulo}t di
re
la mline chale .'c'ependanc
M..
·Gale croit que
Vit~domortJ,
efl prt!fenternenr D olan–
cfe. C'efi
1&
notic:e des dign ités de
J'Empir~
qu í em-:
ploie
1~
nom
Vindtblllll.
(D.
J.)
f/
IN•
'
''