EST
la forme avnnt de rafraichir .
V oya,
R
A F R
1\
1C H IR ,
E S TRI V lE R E S ,
r.
f.
(Mar",!.
m
foie)
bouls
de cordes altaehés aux arbaldles des li/rerons , quand il
n'y
a
point de fau
X
lilferons , Celles qui Cerveot
a
faire
Irver la ehaioe, liennent aux cnlquerons ou carquerons
¡
&
ceiJes qui Cervent
a
faire bai(fer les li(fes, tiennenr
3U X
arbalefies
&
aux faux li(ferons,
E S
T
R O P, E S T
R
O PE .
(Marin•. ) V oycz
E–
TRa PE.
• ESTROPIE',
r.
m,
II
Ce dit, au fim ple , d'un
' ánimal qui a quelques-uns de
Ces
mem bres défigurés ,
foir naturellemem, Coit par accident : on l'a tranCporté
nu figuré ,
3
une ,mulritude infinie d'objets ditrérens.
E
s
T R
o
PIE',
adj,
( De.f!ein
&
P eintllre)
Ce dit
d'uoe figure d'un membre ddTi né fans jufie/re
&
fans
propon ion . Ainfi une figure en
.jfropile ,
10rCque quel–
qu es-unes de fes pardes Cont
trOP
gro(fes ou trap pe–
tites par rapport au x autres.
00
dil : ce peintre colorie
bien , mais fes figures Com
cftropiéeI, (R) .
E S T
RoO
P IE
R,
( 'Jardinage).
1I
en quelquefoi¡
a
craindre qu'en arrachan l des arhres dans des pepioie–
re~ ,
vous
u'
ejfropiez
les racioes des arbres voifillS,
c'e fi-a-dire que vous oe les coupiez , les écorchiez
&
ne les rompiez .
00
peut encare
e(lropier
un arbre en le tai llant mal,
&
lui 61ane les br3nehes néce(faires
a
fa beauté
&
a
la
produélion des fmits .
( R )
E S T
U
Q
U
E,
~GEog,
mod. )
provinee du Biledulge–
,·id, en
A
frique.
E S T U R G E O N,
r.
m.
(Hift, nat,
lchthy% ~ . )
areipenftr ,
poilfon cartilagineux , qui a le corps long ,
&
cinq rangs d'écailles oncuCes, qui s'élendene d' un.
bout
a
l'autre,
&
qui formenl les bords
de
cinq faces
longitudinales , Le 'venlre en plat, les écailles Cunt ter–
m inées par une petite poinee fer me
&
recourbée. Iue
bec en long, large, mince,
&
prolongé au-dela de la
bouche: il y a Cous le bec quatre barbillons, La bouche
en petite
&
dépourvue de dents ; la queue relfemble
¡\
celle des chicns de mer; le denós du corps en d'un
b leu noiratre,
&
le de(fous de ' couleur argentée . Ce
poi(fon eotre dans les grandes rivieres,
&
iJ Y devienr'
3U m
grand qu'ün poi(fon cétacée. On en a vu qui a–
voicnr plus de 16 piés de longueur,
&
qui pefoieor
./
EST
851 .
jufqu'a deux cents Coixante livres , mais daos la mer
il
ne pa(fe guere 'un pié
&
demi.
L'ejfurgeon
el! excel–
lent
a
manger. Raii,
' jjnop, method, pife.
R oodeler,
hift. deJ poi.f!onJ . I/oyez
POI S S
o
N ,
( 1)
• E
s
T U R G E
o
N,
(Péehe).
La péche de
I'eflur–
g,on
avec les tramaux dérivans commence en F évrier
& ,
dure juCqu'eo Jl1iller
&
Ao(\t,
&
m~me
plus tard.
fui vam la faiCon , Les Pecheurs qui fom ceHe
p~che
dans la riv iere, amarrent par un cordage de quelques
bra(fes les 110uts de leur tre(fure , qui a quelquefois plus
de
100
bralfes de long,
¡,
un pieu qui en pl'anté
¡,
11
rive, ou anaché
¡,
quelque arbre de bord . Le rets, Cui–
vant la profondeur des
eau ~ ~
a
2,
3
a
4
bratfes de
chate,
&
pour lors le tramail rene Cédentaire Cans dé–
rive,
&
ancle au pa frage les créacs , c'ell-a-dire les
e~
flllYgeonJ
qui montent ou qui deCce,ndent .
I
00
fait encare cene meme peche a la Ceine , qui efl:
trainéc par deux petites filadieres montées chacune de
lrois
a
quatre hommcs . Cetre feioe a uoe eCpece de Cae
ou chau lTe dans le milieu . Les Pecheurs manlruvrent
to Ojours de maniere que la marée [oir portée dans la
chaufTe, laquelle en foa levée par le fl ot . Quand, ils
s'apper~oivcnt
qu'il y a quclques
ejfllrgeonJ
de pris , ils
les retirent
&
les amarrent par des bouts de ligne qui
paerenr au-tlavers des oüies
&
de
la
gucule du poi(fOil :
ils coofervent aia fi les
..
jfllrgeonJ
vivans.i uCqu'¡\ ce qu'ils
en ayent a(fez pour fa ire un voyage
a
Bordeau! , ou ils
les portenr tous;
&
m~me
un Ceul pecheur amalfe quel–
quefois les
<jfllrgeonJ
des autres
&
les porte
¡¡
la vente
pendant que les autres. continuene leur peche ,
E S U
LE,
(Pharmaeie
&
M atiere médie, ) Voyez
TrTHVMALl!,
• E S U S, f. m.
(Mytho/, )
divinité des Gaulois ,
a'
laquelle ils )mmoloient apres la viéloire' tout ce qui
IOmboit vivaor entre leurs maios , lis arroCoieot quel–
quefois
Ces
autels du fang de leurs femmes
&
de leurs
enfans .
EfuJ
étóir repréfenté
a
demi-oud, avee uoe ha–
che
a
la main, qu'il lai(foir tomber' ,
• ESYMNETE, adj.
(Myth.)
furnom donné
a
Bacchus,
&
emprunté de la fi atue que Vulcain avoit
faite de ce dieu,
&
que ]upiter meme avoit donnée
a
Dardanus,
FIN D U T O M E
e
1
N
Q'
U 1 E M E,
E
R
R"
ATA.
P
Age 'fIj.
,1,
I' A'fIertiffement. ligo
9.
t7'
10.
'nu lieu de
aux–
ql1elles ,
·lif.
ouxquels.
Page
/O.
col.
t.
lig. dern. au lieu 4e
on voit ,
¡jf.
on fait,
Pag,
16.
col.
2.
ligo
49.
au li", de
enlin
don. lif.
enfin
'dom o
.
Pago
57.
,,1.
'.
ligo
60.
apTis
'Villughby,
mette" un point.
Pago
66.
a
la
fin
du mot
D OUBlIe FUGUE ,
mu"" une (S) .
Pago
84.
arto
D
R A C
o
N T 1 Q..U E •
ligo
tOo
,lJa""
de cer-
te conllellarioo .
Pago
188.
col.
r.
ligo
16.
a" lieu de
ayant ,
li!
avoit.
Pago
238. ,,1, 2.
ligo
3.
a
comprer d'en- bas , aprh
Gode-
froid
J
oUt.
la 'tIirgllle .
•
Pago
t 40.
col.
1.
lí¡.
58.
t7'
59.
la
perte de
la
tranquil–
lité de cet homme ne fenfib\e ,
Ó""
de cet homme né len–
fible ,
t7'
lif.
la perte de la mnquillité , ce bien fi préeieux
~
tout homme ,
e7C.
·
.
Pago
' 47.
col.
1.
ligne
5.
a
compter d'en-bas , al< li", d.
qu'il,
lifez. .
qu'elle.
•
Pago
149. "l.
2 .
lig.
31.
e!fa""
périgée.
Pago
t 80.
col.
2 .
rig.
41.
au liet< de
deux ,
lif.
erais.
Pag,
284.
col.
1.
ligo
66,
artiele
E c o
N
o
M 1
s , dix bons
magillrats.
lif.
dix hommes capabIes de gouverner leurs fem–
blablcs.
lbid. col.
t .
lig.
4t.
life" ainji ces d",,, lignes:
11 efl: im–
portant de remarquer que cette regle de jullice , sOre par
~;¡pport ,
(!J'C.
Mim, col. ligo
7.
a
comprer d'en- bas ,
:¡
I'état,
lif.
iI
la
grande.
Pago
286.
col.
2..
ligo
1.3.
tn rtmontant,
retirer ,
¡iI.
ruiner
Pago
287.
col.
t .
ligo
t ,
en' remo"lant ,
fe montre ,
li!
fe
')11ontre -done.
'Tome
v.
Pa~.
t 89.
col.
r.
ligo
3.
Voye"
E
D U C A TI
o
N.
,jface" ce
renvol .
Mime col. ligo
1.1.
le ,
li!
ce.
Mime cot. lig,
37. de plus ,
lifo"
de plus pres .
Mime col.
ligo
3.
en rtn:ontant, chang!%. ainfi ces deux
lit :
pour une chofe, fe trouvant deninés pour une autre , ni
ceux qui montent ,
&'c.
lbid. col.
t.
lig.
60. foin,
lif.
befoin.
Pago
'90~
"l.
t.
ligo
34. ne le vendoient jamais .
ajou–
I ,z.:
,ce ne fut qu'au fiége de Veies qu'on
commen~a
de
payer I'infanterie romaine. Marius fut le ,
el'C.
lbid. ligo
36. légioos romaines .
ejface"
romaines.
Pago
353,
"l.
"
ligo
, 8.
al< li,u d,
Peliffe,
life"
Pélufe.
Pago
407.
col.
l.
ligo
37.
al< li,u de
les maux .
lire"
les
manes.
•
Pago
417 .
col.
1.,
lit ·
4.
au li,u
4,
confine,
/ife"
confinent:
Pag,
4t6.
col,
t .
ligo
40.
el'
41.
tranfpof'" les d",,, 'fItrs.
• 1
r
l f.
(.
71)
coro
F
Pago
43 3·
ca
, 2.
'g· 44·
l .
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V
1
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1"1
fi-i-,n-". ';"'90-,""+-E;:--~F.
~
%. .
N. B.
On attribue ,
page
76 du ler Volume ,
a
M, I'abbé
Desfootaines des obfervations 'fur I'occroilfement
&
le. dé–
croiffement alternatif
&
journalier de la taille humaine : e'efl:
une-faute d'impreillon confidérable. Ces obfervations vien–
nent de M. l'abbé de Footenu, Penlionnaire de I'Aeademie
des Belles-Lettres. II lllt
¡¡
fon ac'adémie une differtation fur
ee fujet en 17'5; fa differtation ayaot été communiquée
&
lue
a
I'academie des Sciences. elle
l'
approuva ,
&
M. de
Fonteoelle en donna un ext....it dans le tome de 1715 des
ollvrages de cette académie.
P
pp p p